Une maison de pierre au coeur d'un bosquet

La piece dans laquelle vous pènétrez est claire et dépourvu d'artifice. Des étagères ornent les murs et son couvertes de coffre, livres, fioles, bocaux et divers ustensiles.Au plafond différentes herbes sont suspendues, a différent stades de sèchement. Une table se trouve au milieu de la pièce ainsi que des chaises... Sur votre gauche une porte est ouverte laissant voir un couloir sombre tandis que, sur le mur face a vous se tient une cheminée ou un feu brule vivement sur lequel est suspendu une marmite remplie de liquide. La pièce est propre, méticuleusement entretenue.

Lorsque vous refermez la porte un lèger titement emplis l'air. A peine la fin du teintement a t'elle prit fin qu'une jeune femme apparait dans l'encoignure de la porte du couloir.

La jeune femme regarde le rodeur et pose son regard sur Lunaria et le brassard rouge...

- Seule la salle des fleurs est occupée ... Je vais quérir de l'aide...

Elle se detourne et repart dans le couloir d'un pas pressé laissant Lunaria et le rodeur. Le Rodeur ratrape doucement Lunaria et la soutien la conduisant avec précaution vers la porte menant sur le couloir. Arrivée a la porte et voyant l'etat de faiblesse dans lequel Lunaria se trouve le rodeur se baisse légèrement, passant un bras sous les genoux de la jeune femme puis l'autre dans son dos, il la souleve délicatement la calant contre son torse. Il regarde Lunaria avec un visage impassible mais un regard inquiet et doux. C'est avec cette même douceur qu'il s'adresse à elle.

- Laissez vous faire. Vous n'êtes nullement prisonnière. Si je vous amène ici c'est qu'on s'inquiète de votre état. Je me nomme Arna Kennerüd...

Il passe alors la porte s'engageant dans un couloirs sombre puis pousse une porte sur la doite apres avoir parcouru 2 mètres. Il s'agit d'une chambre ou reigne une clarté douce et sereine. Même spartiate elle degage un bien être surprenant. Le rodeur s'avance vers le lit et y allonge doucement Lunaria, puis il se dirige vers la fenêtre et tire les rideaux. Arna se rapproche alors de Lunaria et ote sa cape.

- Reposez vous Dame et pardonnez moi de prendre mes aises..."dit il en posant la cape sur le fauteuil a côté du lit " Mais tant que nous ne savons pas si la fatigue est vraiment la cause de votre état de faiblesse vous devrez supporter ma compagnie.

Il retire le brassard rouge et le glisse dans sa saccoche. Il se raproche de Lunaria et lui enleve ses bottes puis il remonte les couverture sur elle.

- Un guerriseur ne va pas tarder essayez de vous détendre.

Il sourit a Lunaria puis se recul et s'assied dans le fauteuil les yeux fixés sur Lunaria attentif.

Une vague d'émotion serra le coeur d'Arna, devant la detresse et la faiblesse de la jeune elfe. Une sourde angoisse rampait dans le coeur du rodeur. Son inquietude pour la sécurité de la cité, pour ses habitant se melant a la souffrance de voir Lunaria ainsi...Il se leve et s'approche de la jeune femme et s'assied sur le bord du lit. Arna regarde Lunaria et delicatement lui prend la main... Mais que font les guerrisseur se dit il ... enrageant de son impuissance, puis a voix haute et douce les yeux fixés sur la jeune elfe il dit :

- Je suis la, vous irez mieux bientot fermez les yeux...

Sous la voix douce du rodeur Lunaria se laisse glisser dans le pays grisatre des rêves... Le temps se suspend...
Un songe eveille Lunaria, un cauchemard dans lequel un griffon blanc buvait son sang... Lunaria s'eveille d'un bond dans la pénombre et vis le monstre du rêve au pied du lit. C'est une terreur bien différente des autres, elle ronge l'esprit. Mais l'aube s'est levée et malgré la fièvre, permis à Lunaria de voir la véritable nature de ce qu'elle voit et de conserver sa santé mentale. Vétue d'une robe de soie blanche , avec un voile blanc sur les cheveux, une femme regarde Lunaria et discute avec le rodeur...

- vous êtes sur que ce n'est pas plus grave ?
- Oui Arna, la fatigue et une insolation... seule le repos arrangera ca. Cependant reste ...

La femme regarde Lunaria puis le rodeur. Elle lui glisse dans la main une fiole.
Je vais vous laisser tout deux. Vous pouvez^partir mais vous devez prendre du repos.

Arna salut la femme et se rapproche de Lunaria qui sort et referme la porte derrière elle. Il s'asssied à côté d'elle et ouvre la fiole. Il cherche le regard de Lunaria.

Buvez ceci ensuite reposez vous encore quelques heures, je vous menerai ensuite à la taverne pour que vous puissiez prendre une chambre.

Il avance la fiole vers les lèvres de la jeune elfe lui relevant délicatement la tête sa main posé sur la nuque de Lunaria. Il lui sourit.

Vous ne craignez rien nos guerrisseurs sont des êtres hors pairs...

Le rodeur regarde Lunaria ... Puis il se dirige vers la fenetre. Apres un long moment de silence et se retourne et reviens vers Lunaria. Il s'arrete au bord du lit.

- Je vais vous laisser, la cité vous est ouverte des que vous vous serez reposé vous pourrez vaquer a vos occupation et découvrir notre cité. Si vous avez besoin vous me trouverez a la caserne la pluspart du temps.

Sans attendre de réponse le rodeur sort de la pièce et referme la porte sur lui. ses pas s'éloigne rapidement dans le couloir.

La pièce est sombre, seuls quelques bougies et la lueur du feu dont le vacillement dessine d'étranges ombres sur les murs de la petite maison semblent apporter de la lumière et de la chaleur. Dehors, la nuit semble etre tombée depuis longtemps. Debout devant la cheminée se tient la guerisseuse, elle remue une grande louche dans la marmite et une odeur de légmes et de lard flotte dans les airs. La femme releve la tête et sourit à la vue de Lunaria.

"Vous etes enfin reveillée ? Vous avez dormi 2 jours d'affilés. Asseyez vous avec moi et mangez un morceau, il vous faut reprendre des forces. " dit elle en tirant une chaise pour Lunaria

Elle verse une bonne portion de soupe chaude et fumante dans un bol et le tend à la jeune elfe avec un sourire maternel mais qui interdit tout refus.

La femme s'est assise en face de Lunaria et boit sa soupe sans dire mot. Lorsqu'elle eu fini et son invitée aussi, elle se leva et débarassa la table.

-"Vous semblez allez beaucoup mieux maintenant. Vous pourrez trouver une chambre pour la nuit à l'auberge qui se trouve sur la rivière au centre de la ville."

Elle se tut un instant, s'approcha de l'étagère et en sorti un petit paquet de derriere une pile de livres. Elle donna l'objet de forme cylindrique et enroulé dans une étoffe de soie rouge à Lunaria.

-"Pourriez vous amener cela à Arna pour moi ? Le rodeur qui vous a amené à moi. Il doit se trouver sur la tour de garde nord en ce moment."

La guerisseuse affichait un petit sourire lourd en sous entendu tandis qu'elle parlait.

Je regarde le paquet, le prend dans mes mains et le sert contre moi. Je regarde la jeune femme et lui adresse un sourire.

- Merci pour tout ce que vous avez fait.

Je m'assure que j'ai toutes mes affaires, fait un dernier sourire à la femme et m'avance vers la porte, je l'ouvre doucement comme absorbé par des pensées ou réflexions. Je regarde à l'éxtérieur, il fait nuit, j'avance de quelque pas hésitante "Je ne connais rien d'ici, cela ne va pas etre facile de se repèrer" pensais-je silencieusement. Je referme la porte doucement, leve les yeux vers le ciel et regarde les étoiles. J'esquisse un sourire, « la tour de garde nord », je prend donc la direction du nord, guider par les étoiles, je prend le paquet dans une de mes mains contre moi, et pose la main libre sur la garde de mon épée. J'avance rapidement espérant arriver au plus vite à la tour.

(heu j'arrive où ? ^^"")

La femme sourit à Lunaria,
- cela est mon devoir nul besoin de me remercier. A bientot et dans d'autre circonstances bien entendue.
Puis elle se détourne et passe la porte, disparraissant dans le couloir, retournant à ses occupations.

( Et voila ou tu te retrouve Lunaria ==> Tour de garde Nord )

La piece dans laquelle vous pènétrez est claire et dépourvu d'artifice. Des étagères ornent les murs et son couvertes de coffre, livres, fioles, bocaux et divers ustensiles.Au plafond différentes herbes sont suspendues, a différent stades de sèchement. Une table se trouve au milieu de la pièce ainsi que des chaises... Sur votre gauche une porte est ouverte laissant voir un couloir sombre tandis que, sur le mur face a vous se tient une cheminée ou un feu brule vivement sur lequel est suspendu une marmite remplie de liquide. La pièce est propre, méticuleusement entretenue.

Lorsque vous refermez la porte un lèger titement emplis l'air. A peine la fin du teintement a t'elle prit fin qu'une silhouette apparait dans l'encoignure de la porte du couloir.