Carnet de bord

Je sort de la voiture, sans une parole, le visage fermé. J'attend ne bougeant pas la suite des instructions tout en observant les alentours. Je tourne alors mon regard sur lui et m'avance a sa suite... Que faire d'autre ? Je ne sait pas ou je suis, je n'ai aucun papier... pas d'argent...
Il entre dans le batiment. J'entre a sa suite et decouvre l'interieur : un gigantesque hall d'acceuil, rempli de bagagiste, et autre suiveur de riche...
Alors que je le suis l'homme, je vois des regards choqués se poser sur nous... Sur moi... Heureusement que je sait me retenir... mais cela ne m'empeche pas de fulminer interieurement....
ne faite pas attention a eux il ont fini par prendre l'habitude je pense. A chaque fois il pense la meme chose des personnes que j'amène...dit il en ricanant
J'ai une furieuse envie de decocher des coup de boules... de me defouler... Je lui repond d'une voix sourde
Je peu repartir de suite... je vous importune tout comme eux. De plus vous ne savez rien de moi... pas même mon nom... la demoiselle
Ne partez pas, sinon c'en est fini de vous me dit il a voix très basse en s'arétant pour me regardé. Je le regarde ne comprenant pas pourquoi il ... puis le rejoints...
Je le regarde sans un mot.. mais n'en pensant pas moins...Il se retourne et reprend son chemin vers un acensceur. Il laisse un portier apuyé sur le bouton d'appel et rapidement un ascenseur arrive.
Les portes de l'ascenceur s'ouvre...dedans un autre portier
Je remarque que le portier a un regard vide... comme tout les autres portiers ou bagagiste...Je me mord la levre inferieur... et me tait
Le portier apuis sur 3 boutons et l'ascensceur monte... L'ascenceur passe les etages sur lesquel le portier a pourtant appuyé... Je fronce les sourcils notant les numéros des etage... Je reste dans un coin de l'ascenceur observant cet homme qui dit s'appeler Artamos...
Soudain l'ascenceur s'arrete et arrive enfin au 34em étage... alors que le cadran en affiche 33. Je note ce nouveau detail curieux... quel est cet homme ?
Le jeune homme sort et m'invite a le suivre, ce que je fait. En sortant de l'ascenceur j'entre directement dans une piece. Une sorte de salon, une immense télévision, des canapés et fauteuils, table basse, un mini bar, des fenétres sur tout un coté... Je ne comprendrais jamais le gout des hommes pour les fasts et la richesse...
Et bien voila, on sera mieu ici. Installz vous.
Je m'arrete me me sentant legerement pas a ma place dans un tel decor...
Je le regarde immobile, il se dirige vers un mur ou se trouve les interrupteur, les lumiéres sont déja alumées et je le regarde me demandant ce qu'il veut faire... Il apuis sur un bouton, soudain des volet descendent et ferment toutes les fenêtres. Bien installez vous. Servez vous si vous avez soif *en indiquant le bar
Non merci... Je le regarde faire toujours debout et immobile...Il passe une porte...Me laissant seul dans le salon. Je parcourt la piece du regard...Puis vais m'assoir dans un fauteuil et me fait toute petite et silencieuse... Je reflechit a toute alure... sans réelle pensée cohérente... la fatigue... les nerfs... le besoin de savoir... Il revien quelques minutes plus tard en s'essuyant la bouche avec sa manche.
Et bien voila pour moi. Vous ne prenez rien?
Je lui dit non d'un mouvement de la tete. Il me regarde.
Vous êtes sur? j'ai autre chose que pour nous vous savez *en se dirigeant vers le bar
Je secoue la tete, plus il parle... plus il me donne d'indice plus je refuse de voir ce que j'ai deja deviné depuis longtemps...
C'est une camera cachée ? dis je niant l'evidence . Il me regarde dépité.
u.... une... *puis éclate d'un rire joyeux
Je le regarde rire et s'aprocher de moi en essayant de se calmer.
Et bien, je ne pensais pas pourtant que les caméra caché irais si loin dans leur jeu.
Je me mure a nouveau dans mon silence. Vampire...
Je rappel ce qu'il vous est arrivé? *souriant
Je le foudroie du regard, il n'y prète pas atention. Je sert les poings et les machoires...
DING! Je sursaute; l'ascenceur arrive.
A tien. eu... pouvez vous allé dans la pièce d'a coté s'il vous plait? * dit il en se levant. Il sort de sa poche une télécommande et apuis sur un bouton en visan l'ascenseur.
Je peu partir aussi...
vous ne pourrez pas sans l'ascenseur
Je me dirige vers la piece d'a coté... prisonnière... dans la demeure d'un vampire.... J'entre dans un petit hall, avec 4 portes. La porte de droite est fermée...A gauche une porte ouverte la cuisine, la seconde a gauche est entre-ouverte, aparement la salle de bain, la derniere porte en face de moi est fermée. J'entend la porte de l'ascenseur s'ouvrir et me laisse glisser contre la porte que je vien de refermer et ecoute...AAAAH bonsoir. Et bien je ne vous atendais pas avant demain.
bonsoir sire, merci de nous acceuillir. la voix repondant a mon hôte est froide... je fronce les sourcil au mot sire...
et bien kel nouvelle?
je désire vous faire une requete, étant donné que le rite de mon premier infant a échoué...
J'entend l'homme qui m'a "sauvé" rire. bien sur demande...
et bien... j'aimerai tout d'abors mené l'enquete sur la disparition de l'humaine disparu, puis je voudrai sinon en trouvé une autre...et aussi cette fois pouvoir ... la maitriser cette fois...
et bien, tu sais bien qu'il est interdit d'user de pouvoir sur un sujet au rite... tu pourrai la comprometre...et ensuite je t'autorise a retrouvé une autre proie. Pour ce qui est de l'humaine, nous avons déja des hommes sur le sujet, ne t'inquiéte pas...
La seconde créature semble hésiter... Il semble attacher de l'importance a mon cas...
et bien.. merci sire je ne vous dérange pas plus désormais... puis-je... puis-je allé me nourir un peu avant d'allé me couché, je n'ai pas u le temps de m'en préoccupé...
et bien... je vais te cherché cela... . J'entend a sa voix que mon hote se rapproche de la porte derriere laquelle je suis...
merci mon sire, n'en faite pas tant... j'y vais moi meme . Repond la seconde voix précipité en s'aprochant rapidement de moi.
Je cherche un abris du regard... a nouveau proie... la salle de bain... Je me redresse rapidement et, sans bruit, me dirige dans la salle d'eau. Je m'y engouffre et referme la porte.
Je suis comme toujours dans de sales draps. J'observe la piece spacieuse, grand bain/jacouzzi, 2 lavabos pas de mirroir. Je m'adosse au mur de la salle de bain derriere la porte. J'entend la porte qui mène au salon s'ouvrir ver le hall, puis des pas se dirige non pas vers la cuisine a coté mais l'autre piéce en face... Et je n'en sui pas vraiment surprise... Un traitre face a son sire... Je reste immobile ... silencieuse jusque dans ses pensées
Les pas ressortent de la piéce d'a coté, la porte se referme et les pas entre dans la cuisine. Je ne bouge pas me faisant plus que petite. L'homme ressort et retourne dans le salon. J'attend...Je n'entend plus un bruit désormais. Je ne bouge toujours pas, sur le qui vive... J'ai envie d'aller voir mais quel que soit ma curiosité et ma colere je doit un minimum de respect a mon hote... quoi qu'il soit...
Je n'entend toujours rien et m'approche lentement de la porte et ecoute. Pas un bruit. J'entrouvre la porte et jette un coup d'oeil et retourne dans le petit hall....pas un seul bruit nul part. Je m'approche lentement de la porte du salon et ecoute. Toujours pas un bruit. J'entrouvre la porte et glisse un oeil dans le salon et retourne dans le petit hall.... La porte de la cuisine a été presque fermé je me dirige vers elle et la pousse doucement. Elle est spacieuse, très meme, mais tout les volets semblent baissé. Il fait noir et malgré mes retiscence j'ouvre quand meme la lumiere. Mes doigt trouve a taton l'interrupteur sur le mur a coté de la porte. La lumiere innonde la piece : un grand frigo semble étre le seul objet electronique de la piéce... ni four, ni micro-onde, rien d'autre que le frigo. Une table de travail, quelque ustensiles de cuisine acroché a une série de python.
Je m'approche du frigo et l'ouvre, guere rassurée sur ce que je vais y trouver...Je prend une grande inspiration et regarde le contenu du frigo et j'y trouve une grande série de poche de sang sur les 3 rangé du haut, en dessous tu vois des poches qui semblent étre mise a l'écart en plus dans un sac plastique, dans le tiroir en dessous tu voi un sac plastique non transparent...
Je me baisse ouvre le tiroir et ecarte le plastique...a l'intérieur une boite hermétique avec une croix rouge médicale, genre transport d'organe. Il y avait un autocolant sur le couvercle mais a visiblemen été déchiré
J'entrouvre la boite... Prete a tout quasiment...Je l'ouvre, et trouve a l'intérieur une sorte de mainverdatre... Sous le coup je lache la boite et bondi en arriére.
Je me sent mal prete a vomir et je regarde avec dégout la main, elle semble verte, et gelé... je ne sais pas quoi faire mais ma conscience me cri au plus fort de ne pas m'en aproché. Pas besoin de toi conscience... je n'en ai pas l'intention non plus...La main est toujours dans la boite me narguant...Je me baisse et referme le couvercle sur cette chose... et la refour dans son tiroir. Je ferme le frigo eteind la lumiere et sort de la cuisine. Je retourne a ma place dans la salle de bain. J'en ai assez vu...
Une demi heure passe sans que rien ne se passe.
De toute maniere... je peu aller ou ? nul part... on viendra bien me chercher... tout bas en un murmure a moi même en me laissant glisser au sol derriere la porte dos au mur
*40min...
*45min...
*50min...
*55min que je suis dans la salle de bain sans bouger sans que rien ne se passe sans un bruit... Je me leve doncet sort me rapprochant. de la porte du salon. Je l'entrouvre le plus doucement que je peu. Je ne voit plus personne du peu que je puisse voir. Je pousse plus la porte et fait un pas prudent dans la piece. Je parcourt la piece du regard...
Artamos ?
Je constate que le salon est assé grand, surement mon apartement parisien en entier... 80 m²...Personne ... je ne voi que le bar, canapé, fauteuil, télévision, 2 comodes contre un mur et la porte de l'ascenseur fermé. Tout le coté de la piéce est en faite fait de vitre mais volet fermé
Je pousse un soupir et vais m'assoir... enfin me peletonner dans un fauteuil face a la porte de l'ascenceur.
Alors que je m'instale dans le fauteuil je me rend compte a quel point je suis fatiguée... les nerfs commence a se relacher. Bien positionnée dans le fauteil je ne fais plus atention.. et sens mes paupiéres s'alourdir. Je tente de resister a ce sommeil soudain...je sent sens que si je reste ainsi immobile, mes muscles détendus par l'apaisement de ce confortable fauteil... je sens que je vais m'endormir, emportée de fatigue...
Je me releve sans mal, réveillant mon corp confortablemen installé
Je fronce les sourcils et vai donc s'assoir dans un coin par terre. Des que je m'assied la fatigue m'attaque a nouveau. Je sens que mon corps se relache dés que je me pose quelque part, mes muscles se détendent la fatigue pése sur mes paupiéres. J'ai envie de ceder... et fatiguée je ne pourrai de toute maniere pas me defendre.. Je m'allonge donc par terre coude sous la tete, le dos contre le mur et ferme les yeux. Le sommeil m'emporte...allongée par terre en plein dans le salon .

Je dort profondément... très profondément.... Et fait marquant je rêve alors que cela fait des années que je ne reve plus...Duran ce réve je vois plein de flash, de petits films rapides et courts ou je suis dedans.. je me revois duran ma vie...
Je me réveille soudain... du moins je sort de mon rêve subitement pour m'apercevoir que je suis réveillée, alongée sur un lit en position du foetus. Je me sent apaisée mais l'esprit encore embué et étourdi par le réveil
J'entrouvre les paupieres sans bouger. Il fait tout noir autour de toi, le lit est grand et les draps soyeux, je suis toujours dans mes vétement mais mes pieds son nus...Le lit est un peu dur mais assez confortable, les oreillers sont d'un moelleux... et les draps conscite plus a un grand morceau de soie posé sur toi ...Je bouge doucement et me glisse sur le dos... les yeux grands ouverts...me demandant ... ou elle suis.
Le plafon est blanc... je voi un mur derriére ma tête, dessus est accrochée une épée qui doit faire facilement le métre 50. Je voi aussi juste au dessus de ta téte un interrupteur de lumiére
Je sourit en voyant l'épée oubliant la colere qui commencait a monter en moi..."magnifique"
Je tend le bras et allume...Je ferme soudain les yeux sous l'effet de la lumiére avant de t'abittuer, pourtant elle n'ai pas trés forte la lumiére du plafond... je reste un moment interdite me demandant ce qu'il m'arrive...
Devant le lit, je vois que le matelas est posé a meme le sol, et en face se trouve une comode 4 tirroirs assé jolie et anthique, mais solide... sur la droite, une porte coulissante, celles d'une armoire intégrée.
Au dessus de la comode je vois 3 Katana acrochés au mur : un petit, un moyen et un grand...
Je sourie encore plus une joie pure et infantile on pourrai dire les contemplant. Ils ont un fourreau noir, les bouts or taillé, la garde argent semble représenté un motif ainsi que la poignée.
Je me redresse et m'assied sur le bord du lit, J'appercoi mes chaussures a coté du bou du lit. Je les mets meme si ce n'est pas vraiment les miennes. Elles sont neuve comme les vétement d'ailleur . Je me leve et me dirige vers la commode. Que ces vetement soit neuf ou pas ils ne m'appartiennent... je devrai remercier mon hote... je deteste etre redevable...
Sur la comode, je voi un mortier et un pillon, ainsi que quelque bocaux d'herbes séché autour. Je m'arrete et leve mon regard et regarde les katanas détaillant les gardes et les motif. Ils sembles autentiques, le motif représente les aile d'un dragon déploiyé...
Je sourie et carresse du bou des doigts les fourreau s'abimant dans la contemplation des sabres. Le bout de la poignée et le bout du fourreau représente la tete d'un dragon les croc a l'air.
Je suspend le geste que j'ai esquissée, arretant ma peaume a 2 cm de la garde du plus grand katana. Ce serai un manque total de respect de toucher les lames d'un autres... Je ramene son bras le long de son corp et me tourne sur l'épée puis m'en raproche. Je suis tellement absorbée par les lames et leur beauté que j'en oublie ma situation, en oublie les reves les rites etc etc...
L'épée semble étre une authentique épée forgé de fer la garde large, la poigné pour 2 mains ... Je tend la main et carresse la garde de l'epee. Je voi des marque qui me semblent anciennes, peut-etreceltique, peu etre du vieu francois ou se serai du numérien je n'en sai rien , je n'arrive pas a déchifrer...
J'enleve ma main de l'épée et me tourne sur la piece... Revenant quand meme a la realité. Sur la gauche du lit, tout le mur est en faite une grande bais, comme le salon, volet fermé.
Je repense a mes reves...je repense a la veille... a tout....
Artamos....
Je vois une porte fermé a gauche de la comode et me dirige vers elle et l'entrouvre... Elle donne sur le hall...
Bon ...
La porte qui est en face est celle du salon, Je me retourne et regarde a nouveau la chambre. J'entre a nouveau dedans et vai ouvrir les portes coulissante. La 1er porte est juste rempli d'étagére avec des vétements et sous-vétements, le 2eme armoir avec costar, quelque manteau, au dessus chapeau, dessous des chaussure de tout genre, baskette jusque mocassin et chaussure noir ciré et rangers meme. Tous des vetement masculins.
Je pousse un profond soupir et ouvre la derniere porte... encore des étagére, mais des boite a chaussures sur les 2 étagére du bas, des vétement pour femme aparement neuf sur les milieux et certain avec encore des étiquette. Je laisse cette derniere porte ouverte et retourne dans le hall.
Je regarde les portes, a ma gauche 2 porte, la 1er salle de bain, 2eme cuisine, en face salon et a droite fermée...

Je fait un pas dans ce nouveau monde... un voile se déchire doucement devant mes yeux... Je rage d'impuissance... J'ai l'impression d'etre un pion, une marionnette dont on use a loisir... mais la marionnette a des dents... des griffes... et un jour vous me le paierez...
Que ressentiriez vous ? Dans quel etat d'esprit seriez vous si vous vous etiez reveillés dans un cimetière ? Puis dans un cerceuil ? D'autres que moi aurais craquer... j'en tire une certaine fierté, d'avoir concervé face a tout ces evenements ma santé mentale. J'entrapercois un monde ... qui me terrifie et fascine a la fois... Je bouillone de colere... On ne decidera jamais pour moi ! Mais aussi de curiosité ... J'ai envie de fuir a toutes jambes et l'envie d'affronter ce a quoi je suis confronté ... je suis la a la fois terrifié et fascinée...

Je regarde les portestour a tour, indecise... Je suis tentée de fuir, de partir... mais mon sale caractere me dit de rester... j'ai envie d'en savoir plus... Je bouillone intérieurement. Un méange de colère, de curiosité, de frustration... et un je ne sai quoi... Enfin pas le temps de m'apesantir sur cela... Agir en reflechissant... Je sourit interieurement mon regard rivé sur la porte close... celle que j'ai préfèrée laissée fermée hier...Je me dirige vers la porte close et frape...
entrez la voix du jeune homme
J'ouvre la porte et m'arrete dans l'encadrement. Un grand bureaux en coin est au milieu de la piece, conte le mur en face un grand meuble plein de tiroir, une grande télévision au milieu sur une étagère. Le jeune homme est derriére son bureau sur un ordinateur a travaillé, du moin était a pianoté dessus
Je suis désolée de vous importuner
vous ne m'importunez pas. bien dormi? cela devais vous manquer, il est déja en pleine nuit vous devéz avoir faim d'ailleur...
Oui... et non. Et oui j'ai faim...
Il se leve et fait le tour du bureau.
Vos katanas sont magnifiques... mais bien moins que l'épée
merci, j'ai beaucoup aimé cette épée...
Vous vous en servez encore ?
enfin je n'ai pas eu beaucoup a en pratiqué avant de me retrouvé comme je suis. Pour le plaisir oui
J' esquisse un sourire tandis qu'il me dépassse et entre dans le hall puis va dans la cuisine. Je ne peu m'empecher de pesnser a la main...je n'ai pas envie de manger de la main... Tandis qu'il me repond avec une pointe de joie dans la voix.
les Katana était a un ennemi lors d'un voyage au japon... ils sont authentique je peu vous l'assurer
Donc il n'es plus...On ne laisse personne toucher a ses lames...
je sais, et personne n'y touche, je les expose uniquement, dans ma chambre pour ne pas qe d'autre s'y risque.
Sa chambre... la gene m'envahis et je me sent rougir.
Il va derriére la table du plan de travail et se baisse pour ouvrir une porte
, il la referme et ouvre une autre... et encore une autre. Il se léve et regarde les placards suspendu.
Je pense "sa chambre" incapable de penser quoi que se soit d'aute un peu beaucoup genée.... alors que je n'ai pas a l'etre...
Laissez...Ce n'est pas grave... je ne vais pas encore mourire de faim
Je garde le visage toujours baissé pour masquer ma gene
Et bien, je suis un peu en manque de nouriture mais j'ai quelque truc qui traine
Puis je ... vous emprunter votre salle de bain ?
Il sort des boite de concerve, des pattes, des sachet de plats rapide ...Il me regarde et me sourit.
bien sur faite comme chez vous
Et ... merci... mais je peu dormir ou j'etais...
sur le sol du salon? Et si quelqu'un entrai? En me souriant S'il voi une humaine... en riant
Je le regarde
Bon je vous fais quelque truc simple allé vous rafraichir dans la salle de bain vou trouveré savon champoing et tout ce que vous désirez dans la petite comode de bain. Enfin si vous désirez
Laissez je vous en prie... Je le ferai...
non non c'est bon je trouverai bien de quoi faire... *en me souriant
Artamos...
allez vous rafraichir
Je le ferai...
Je me retourne et va dans la salle de bain, alors que je sort je l'entend sortir des casserole . Je pousse la porte de la salle de bain et fait couler un bain et se deshabille. J'ai oublié de lui demander pour les habits, je me maudit interieurement. En tout cas ca va être pratique pour se coiffer sans miroire...
La baignoire est grande, sur le coté 2 bouton a tourner et 1 a appuyer aparement pour fér jaccouzi (réglé la puissance) sur le bord de la baignoire et l'autre pour le centre, le bouton semble indiquer qu'il réchauffe l'eau. Je me glisse dans l'eau metant le jaccouzi en route.
Mes yeux se pose sur un petit canard jaune posé sur le bord de la baignoire... et je sourit en le voyant.
J' entend dans la cuisine des bruits de casseroles entassées, je sourie et profite un moment du bain les yeux clos. J'enten la porte de la salle de bain s'ouvrir alors que je m't'apréte a sortir.
Il entre avec un plateau dans les mains, je m'immmobilise et le regarde...
voila c'est prét!
Il ne semble pas du tout géné, moi si et je suis rouge pivoine. Il s'avance ver toi et pose le plateau sur le bout de la baignoire ou je voi qu'il est fait expres pour et laisse le plateau dans des encoche aparement prévue pour. Il se reléve et me souri puis se tourne pour sortir
et bien, profitez de votre bain, si besoin apelez moi.
Merci...Mais j'ai termimé
Il n'a meme pas prété attention a ma nudité sous la mousse, tan mieu et en meme temps c 'est vexant... je me prend d'un soudaine animosité contre lui.
et bien... mangé tan ke l'eau et la nourriture son chaude
Je me redresse légèrement sortant juste les epaule et un bras tandis qu'il referme la porte. Je pose ma main sur le bord du plateau et regarde le contenu. Tagliatelles a la carbonara . Je m'approche du plateau et mange. Ce n'est pas mauvais, mais il manque d'assaisonement. Je termine mon repas et boit finit . Pas d'eau... Je boie donc au robinet
. Je termine mon bain puis sort et me drape dans les serviettes et m'essore les cheveux. Je prend une brosse et entreprend de demeler meslong cheveux mouillés puis les laisse simplement ensuite retomber sur mon dos...Je regarde les vetements... puis prend le plateau et sort de la salle de bain. Je le remmene en cuisine... c'est un peu le bordel, il a du essayer quelque truc avant de réussir. Je sourit le poubelle semble sentir bon la nourriture très très grillée...
Je pose le plateau...et commence par mettre tout ca dans l'evier puis nettoie le plan de travail. Ensuite je lave essui et range le tout ensuite la ou cela semble aller.
Je retourne ensuite dans le hall puis la salle de bain et ramasse les vetements... Retour dans le hall, j' hesite... salon ou bureau ...
J' opte pour le bureau et m'en approche. Je frape a la porte.
entre
Je suis surprise par le tutoiement et reste interdite sur le pas de la porte.
et bien, tu va mieux? Il se tourne sur moi
et bien entre, coment va-tu?
Bien...
Il entasse des papier et les réordonne avant de les poser sous son bureau
Merci...
Je me retrouve interdite surprise du tutoiement et du coup ne sai plus quoi dire. J'entre et referme la porte
bien mangé? ca allait ? excuse moi, sa fesai longtemp
Oui tres bien...
Je suis toujours en serviette et les habit dans les bras, immobile comme une andouille...
Vous n'avez pas a vous excusez...
hum... voudrais-tu d'autre vétement? j'en ai dans ma chambre, si tu veux...se sera mieux tout de meme
C'est ce que...je voulais vous demander
J'esquisse un sourire mon regard ere... la piéce est décorée par 2 étagére, 1 derriére l'autre sur la gauche du bureau, ils sont rempli de boukquin...
et bien il se lève et passe a coté de moi et se dirige dans la chambre en m'indiquant de le suivre. Ce que je fait. Il entre dans la chambre et va ouvrir la 3eme porte coulissante. Il m'indique de la main de choisir
Je vous laisse choisir
il y a des robe longue, courte, jupe, pantalon, chemisier, débardeur, Tshrt, pull, ... enfin je vais plutot vous laissé vous serez plus apte que moi
Me repond il, en se dirigeant vers la porte. Je m'approche de l'armoire et regarde... et murmure a voix basse
De toute maniere je ne verrai pas ce que ca donne...
et bien... si vous insistez
Dit il revenant sur ses pas avec un sourir, il semble fouillé
mais... il y a peut-étre quelque chose que vous aimez plus?
Choisissez... s'il vous plait

Je le regarde fouiller dans l'armoire, m'interrogeant sur lui... je sais ce qu'il est du moins je pense je l'ecoute fascinée par ses mouvements, par ... je sursaute a sa voix.
mais... il y a peut-étre quelque chose que vous aimez plus?
Choisissez... s'il vous plait
Il retire une longue robe noir moulante le dos nu, jusqu'a la chute des reins...
[color:71aa=black:71aa]hum... plutot pour des soirées
Je le regarde la remettre en souriant puis me detourne et reprend ma contemplation des sabres et de l'épée. Plus par besoin d'echapper a la contemplation que j'ai pour cet etre, par cette attirance qu'il eveil...
Il retire une retire une robe plus soft, dans les teins clair, jusqu'au genoux tandis que je ne peut m'empecher d'a nouveau me tourner sur lui.
[color=black]hum... je ne sai pas si vous y serez a l'aise..
Je le regarde... souriante. Et me maudit intérieurement.Il la remet dans le tas en pliant rapidement. Je masque mon trouble sous des paroles moqueuses
Vous... tu... vous...
je ... moi ... je? Dit il en se tournant vers moi avec une chaussette dans chaque main
Je ne peut m'empecher de sourire en plissant légèrement les yeux. Attendrissant malgré qu'il soit tellement dangereux... Attention Lessa... tu glisse..
Non rien...Qui etes vous Artamos ? ou plutot sire ...
sire?
Il éclate de rire et je sourit reprimant mon hilarité. Il essai de se ressaisir et me repond
non appele moi Artamos et tutoye moi s'il te plait
Je vais essayé
sinon... je ne suis personne a par un étre qui essaye de faire son possible pour changer les vielles traditione démodés
Le choix a l'air d'etre dur ...
Dis je le regardant avec les chaussettes... changement de conversation... mais cela vault mieu pour le moment. Il regarde un instant incrédule les chausettes, comme les découvrant soudain dans ses mains. Il souris puis les pose dans l'armoire. J'aime le voir ainsi...
je pense que je vais vous laisser choisir
Et bien non ...
J'ai un grand sourire aux levres... il choisira... ou du moins j'ai vu ce qu'il semble aprecier...
je ne sais pas du tout quoi vous faire porter, et vous aurez un meilleur regard que moi
Vous allez choisir...
non non je préfère que vous le faciez
Il se recul en riant doucement.
Je reste comme ca ?
Il se dirige vers l'épée et la retire de ses crochetstandi que je me tais et le regarde
bien sur que non, il vous faut vous habillé.. mais choisi s'il te plait
Alors dite moi au moins vos preferences...
Il léve l'épée droit devant lui, comme au garde a vous, et la regarde un instant le visage deviens sérieu puis il tourne la téte vers moi avec un sourire.
et bien, le choix que tu désidera sera le mien
Quoi que...La premiere robe te plaisais... beaucoup. Sinon tu ne l'aurai jamais sortie...Je me trompe ?
Ba... je doi en avoir d'autre robe de soiré sous la main, mais pour se mouvoir...
Tout depend de ce que vous me reservez. En effet
et bien si tu veux... on pourra déchiré un peu le ba pour te libéré un peu les jambes pour marché plus normalement
Je le regarde.. Attendant la suite. Attendant sa réaction...Il garde lépée droite devant lui la téte tournée vers moi.
je ne vous réserve rien du tout pour le moment pourtant ...
Je n'aime pas ce pour le moment et pourtant je sent naitre un début de confiance... j'ai besoin de ca ... a vrai dire... je lui fait deja confiance et je m'en rend compte ...sans regarder la lame il tien l'épée d'une main, et la fait glisser à ses cotés d'un geste franc, rapide et s'arrétant net mais plein de majesté. J'admire ses gestes... Rare sont ceux qui trouve grace à mes yeux en escrime... j'ai toujours l'image des chevaliers en tête... il leur ressemble temps... Je decide de me presenter ultime marque de confiance... de fin d'hostilité...
Lessa...Bien que je pense que tu le connais deja...
Il tend l'épée un peu en arriére ver le bas, il regarde devant lui et léve uniquement le poignet , puis commence a maneuvré aisément d'une main , en n'avanceant alors qu'un d'appuie en avant pour des rotations de l'épée avant de la faire revenir toujours majestueusement sa sa place.
Je souris en le regardant
Cela te manque...
j'aimais beaucoup... désormais... on ne se bat plus avec ces armes... Il se tourne pour reposer l'épée sur ses crochet
Je souris encore plus et me tourne sur l'armoire... j'ai cru m'entendre dans ses mots...
Cela est dommage...
mais j'ai quelque compagnon encore pratiquan comme moi de cette belle art de combat
Je sort de l'armoire des sous vetement et la robe noire, l'envie de lui plaire... instinct féminin... et aussi le fait qu'il ne met pas regardé... frustration apres pourtant ses regards dans le retroviseur...
Rien de mieu pour evacuer ce qu'on ressent...
en effet...
Il se tourne vers moi me regarde et une seconde aprés me souris, je lui souris en reponse
et bien voyons se que cette robe donne donc... dit il en me regardant toujours debout sur son matelas ...Je sourit et me retourne lui tournant le dos. Il regarde la porte... semblant se demander quelque chose
excuse moi, j'ai oublié mon étique...je vais vous laissé un instant... appel moi
Lessa se tourne et le regarde le voyant se tourner a son tour pour sortir. Il s'arréte au pas de la porte
mais...eu...
Tu ...
Il se tourne vers moi a nouveau semblant gèné.
tout a l'heure dans la salle de bain....je..en faite j'ai pas fait attention...je m'excuse ...je suis désolé d'avoir été si insoussiant...
Artamos... Vous ne sembliez pas si genee dans votre voiture...
Je me sent rougir des que le premier mot fuse de ma bouche... Il me trouble... ce n'est pas normal... je ...
eu... excusez moi. Je suis assez indicret en effet
Et puis...Je suis dans ta chambre. Reste
mais la je peu te laissé seul, donc je vais pas m'imposer, je m'excuse appel moi quand se sera bon... ou pour fermer la robe...
C'est moi qui v me changer ailleur
non non. Reste, et je reste alors. Si tu y tien Dit il en s'avanceant vers moi.
J'aquiesce d'un signe de tete avant de lui repondre aussi a haute voix
Si toi tu le veu bien ...

Je le regarde refermer la porte et aller se placer devant les katana les observant un instant puis il tourne la téte ver moi et me sourit
bien voyons se que donne cette robe alors...
Je lui rend son sourire puis me retourne andis qu'il s'agenou e devant sa commode, et ouvre le tirroir le plus en bas et en sort un sorte de long tube enroulé dans un long foulard de soie.
Je laisse glisser les serviettes et passe les sous vetements, il se reléve et te regarde. Sentant son regard je me tourne sur lui et lui souri. Il sourit grandement son regard se posant sur moi en sous vetement, je ne peu m'empecher de m'empourprer a bouveau avant de passer ensuite la robe...
J'aurai besoin de vous...
je vois
Je met mes cheveux sur mes epaules tandis qu'il pose le long tube (un bon métre 40) sur le matelas soigneusement pui se dirige vers moi. Il se place derriére toi et se penche en avant pour lacé le bas de la robe... Je retien monsoufle fermant les yeux tandis qu'il fait les lacets sans trop sérer...
Il se redresse et sa main froide viens se poser sur mon épaule pour me faire me tourner. J'ouvre les yeux et lui obeissant me retourne.
et bien
Alors ton verdict ? Mieu que dans mon linceul ?
Il se recule d'un bon métre pour pouvoir mieu me regarder. Un grand sourir nait son visage et il me regarde dans les yeux Ses rétines sont noires, très noir, son regard dur a tenir... mais je garde mes yeux dans les siens.
beaucoup mieu...bien que plus vétu... Cela te va a merveille
Il rit mais sa voix est comme teinté d'une once de regret. Je le regarde et repond doucement en riant
Cela peu s'arranger
Artamos me sourit et je me reprend.
Excuse moi...
toujours.... voyont tout peu s'arranger *en riant gentillement
Il se tourne vers son lit et prend se qu'il y avait déposé tandis que je le suit du regard. Il prend l'objet a deux mains et le tien en long devant moi. Je l'interroge du regard alors qu'il léve les bras avec l'objet dans les main
et se recule un peu de moi.
Il tien les 2 coins du long foulard de soie et laisse tomber l'objet enroulé dedans. Ses gestes sont si rapides que je n'ai pas le temps de me rendre compte de ce qu'il fait réelement, je le voi juste lacher le foulard . Celui ci maintenant libéré et étendu dans l'air. Artamos prend un fourreau encore en vol, écarte les bras pour sortie un longue et fine lame effectue un geste rapide devan lui avant de rentrer la lame...
Je reste totalement interdite tandis que je voi le foulard a peine entamé sa chute dans l'air... puis soudain se séparer en 2, coupé sans un bruissement.
Je ne bouge plus. Il garde sa main sur la téte de la poigné, l'autre tenant le foureau a ses cotés. Son visage un instant sérieu jusqu'a ce que la soie touche le sol. Il me sourit et se redresse.
La lame doit être exeptionnelle... mais bien moins que le bretteur... dis je a voix basse regardant la soie toucher le sol ne sachat quoi penser...
Il reprend le foureau dans ses deux main set le tend en avant
non la lame seulement, un katana en le tendant vers moi. Tien prend le
O non...
Je me recul tandis qu'il sourit.
pourquoi donc? tu a l'air d'aimé les katanas
Ce serai un sacrilege...
Je te propose d'un prendre un vrai...il n'a pas d'ame ne t'inquiète pas. Il n'a jamais été marqué pour quelqu'un
Je le regarde lui, le katana puis lui a nouveau.
tu n'a rien a craindre
Je me raproche et tend mes deux mains peaumes levées au ciel devant moi. Artamos avance encore ses bras et dépose dans mes mains le fourreau puis rabaisse les bras. Je reste quelque instant interdite, pourquoi un tel honneur... avoir une telle beauté, une telle perfection entre le mains... Je regarde Artamos et lui adresse un sourire resplandissant.
Prend le... dit il me poussant a sortir la lame du fourreau.
Ou veut-tu que je t'aide a le faire ? *avec un sourire
Je n'ose le sortir... c'est trop d'honneur mon regard a nouveau rivé sur le katana.
Mademoiselle ? dit il m'apelant
Je fronce les sourcils et le regarde. Pourquoi ce mademoiselle... Ma voix s'élève froide
Oui messire ?
Il me regarde droit dans les yeux, je voi son visage sérieu plus que jamais, et me sent soudain figé... je ne plus ni parler ni bouger. Un melange de colere d'offuscation et de peur me saisirssent...
Il te souri alors que tu es ainsi, puis sans cligné des yeux, je vois mes mains sérrer le foureau et la garde puis les écarter pour ouvrir le katana. Je me sent eprendre totalement possetion de mon corps et de mes mouvements. Je bouillone mais me contien...devant son sourire innocent et tellement charmeur.
Vous voyez... ce n'était pas si dure
Je le regarde puis reviens a la lame.... enfin sortie. Je la contemple et test son equilibre. Il est en parfait état, meme neuf, il semble plus solide que jamais, et totalement et parfaitement bien conçu

Elle est parfaite... dis je tout en la faisant glisser a nouveau dans le fourreau
Je reprend le fourreau a deux mains et te le tend a Artamos le fixant droit dans les yeux ne voulant pas ceder.
Est ce a toi que je doit mes reves de cette nuit ?
Il me regarde un instant les mains tendu vers lui.
Je n'agi nulement sur le sommeil
Il se tourne vers la commode et ferme le dernier tirroir, tu a juste le temp d'apercevoir des armes rangé dedan ...Je me rapproche de lui, lui tendant toujours la lame.
Garde le pour le moment
Je ne peu pas...
Nous pourons en pratiqué si tu le souhaite
Oui... j'aimerais
Tu le peu dit il en riant doucement, puis il se tourne vers moi
Bien, je pense que je vais me coucher dans plus très longtemps
Je te laisse
Je pose delicatement le Katana sur la commode.
tu peu dormir ici si tu le souhaite
Il se tourne vers la porte et s'aprétant a sortir
Ce n'est pas ma chambre...
j'ai mon bureau ne t'inquiéte pas
Et je ne vois pas pourquoi tu n'y dormirai pas ici
Je me raproche de lui et pose sa main sur son avant bras, il se tourne vers moi.
car je t'invite a prendre la place...
Ton lit est tres grand... je me perdrais dedans
Artamos rie j'aime son rire et me etien de ne pas rire aussi.
d'ailleurs, il faudrait surement d'autred drapd que ce semblant de couverture *en regardant le simple drap de soie sur le lit
Je sourit et le regarde qui se tourne et va ouvrire le 2eme tirroir de la commode. Il sort alors 2 couvertures d'hiver, pas épaisse mais chaudes. Il les déplit et les étends sur le lit.
et bien, voila pour cette journé de repos...
Il se tourne ver moi en me souriant je lui rend son sourire.
Je te laisse ... bonne journée
et surement n'avez vous pas sommeil? je vais donc en effet m'installer dans mon lit, mais vous y avez largement place...
...attend...enfin... si tu a sommeil se reprenant
Je m'arrete, me tourne sur lui et le regarde.
sinon je te laisse aller... je serai ici en cas de necessité, ou si tu veu dormir aussi
Si vous me laissez une petite place...
la place est plus que suffisante, vous en aurez.tu... pardon dit il en souriant et en me regardant. Je me rapproche de lui.
Merci a toi...
mais de rien
Je le regarde tandis qu'il se tourne vers le lit
Tu m'a dit qu'ils finirait par s'habituer a moi comme ils se sont habitué saux autres...Autant d'autres ?

Inutile de dire que je regrette deja mes paroles a peine prononcées...Il commence a défaire sa chemise pui se tourne vers moi
pardon?
Il éclate de rire
on a du mal se comprendre...
Excuse moi ...Je suis bien trop bavarde... tu me l'a déjà dit. J'aurais besoin de toi...
non je dizai qu'ils ont du finir par prendre l'habitude de voir des étrangers entrer chez moi
A moins que ... tu veuille que je la garde... *le regard baissé sur la robe*
Il s'avance vers et va derriére moi et délasse la robe
je ne sais pa si je préfére que tu la garde ou non....tu es aussi jolie avec... *te souriant en se reculant
Je me retourne sur lui et lui sourit.
mais sans... souriant
Mais sans ?
Son sourire s'agrandit sans qu'il réponde...je fait glisser doucement la robe jusqu'a terre. Puis me baisse et la plie soigneusement. Oui .... stupide j'en convient...Il termine de defaire sa chemise bleu nuit, et la dépose au pied du lit ainsi que son pantalon plié. Je sourit... lui aussi. Je le regarde
Nous voila a égalité sur ce point
Je lui souri et pose la robe il se tourne vers le lit et léve les draps, et je remarque son dos...la peau est comme si une grosse cicatrice en forme d'étoile était marqué la... et la peau a peine régénérée.Je fronce les sourcil et me mord les reves imaginant la soufrance qui a dut etre la sienne. Mon pauvre sire.
en effet... se tournant ver toi
qu'il y-at-il? en regardant ma téte...
Je me rapproche et m'assied sur le lit dans son dos, j'effleure a peine la marque... consciente qu'il ne doit pas en souffrir physiquement mais les blessure morales ne se referme jamais totalement.
Son corp est magnifique malgré cette marque et je ne peu m'empecher de le noter. Artamos bouge pas, puis je le voi frissonné un instant.
Il se retourne et me regarde le visage triste. Je leve la main et la passe sur son visage
Artamos...
Je me tais et me recul lentement, il me regarde son visage revenant sans expression.
excuse moi
T'excuser de quoi ?
Il me regarde sans répondre puis s'agenou au pied du lit et s'avance pour s'allongé a mes cotés.Il regarde le plafond un instant et je m'allonge a son coté a mon tour. Je le regarde et avance sa main gauche venant chercher la sienne.
Cela date d'avant mon.... évolution
Il a un bras derriére la téte comme un cousin, l'autre le long de son corps, et je la trouve facilement. j'enlace mes doigts aux siens
Chut...
j'étais alors jeune apprenti chez un forgeron...
Excuse moi...
Il se tait et tourne la téte vers moi et me sourit tristement
ne le soit pas
Je le regarde et lui souri
c'est un ... accident béte... mais qui ma permis d'évolué
Et qui a permis que tu sois la... encore aujourd'hui... qui t'a permis d'etre la pour moi... qui a permis que je te rencontre
son sourire s'agrandit et je le regarde ...
oui en effet... mais il y a alors beaucous d'autres parametres a prendre en compte jusqu'a ta rencontre... souriant
Je le sais....Je ne suis peut être qu'une humaine...Mais je ne suis pas idiote
Il se tourne vers moi
je ne l'ai jamais prétendu... et je le sais maintenant depuis bien longtemps
Comment cela ?
contrairement a ces autres ... bref oublions les
Oui oublions ...
une longue... trop longue histoire
Il faut que tu te repose Artamos...
Je delie mes doigts des siens et me tourne sur le coté lui. tournant le dos.
Je m'eloigne et me met bien sur le bord du lit luilaissant un maximum de place
nous n'avons réelement besoin de nous reposer ...
Il pousse un léger soupir amusé
ou va-tu? a-tu donc si peur de moi?
Non ... Je te derange bien assez. Tout simplement
Il rigole simplement un instant
Si tu me dérangais... pense-tu que déja tu serais encore la? ou que je t'aurais proposé de partagé ma couche pour la journée?
Je ferme les yeux, sourcils foncé, levre mordu mode petite boude...Un jouet... Il pose une main sur ton épaule pour me faire me retourner.
Tu l'a tres bien dit ... tu ne m'a encore rien reservé
Je ne me retourne pas résistant a sa douceur ...
car je ne désire te faire aucun mal
Je ne suis rien Artamos ... une seconde de distraction et la possibilité de mettre des baton dans les roues de ta secte tout au plus. Donc quelle importance bien ou mal ?
si je t'ai sauvé, c'est surement que tu es bien plus... mais je ne te forceraie a rien... si tu ne veux pas porter vengeance ou m'aider
Il me lache l'épaule et se retourne sur le dos, je me tourne sur lui et le regarde. Il a un bras derriere la tete... et contemple le plafond... je suis incapable de lui en vouloir... danger...
Je suis désolée
de? sans tourner la téte
Je me rapproche de lui.
tu na pas a l'étre
Je me redresse un peu et me penche vers lui deposant mes levres sur sa joue.Je me recul a nouveau me couchant sur le coté droit et le regardant sans un mot. Artamos tourne son visage vers moi un léger sourire au coin des lévres. Je souri a mon tour. Il reste un instant a me regarder, puis se tourne vers moi.
Artamos s'avance pour froller mes lévres des siennes. Danger...plaisir...
Je ferme les yeux et me rapproche de lui accentuant la pression de ses levres sur les miennes. Elles sont froides... Il léve une main pour la passer sur ma joue et la sérer contre lui. Je se raproche de moi pour se coller presque contre moi, sa peau est froide...Je frissone légèrement mais mon corp se colle encore plus contre le sien , ma main se posant sur sa taille. Il recule son visage et me regarde souriant, j'ouvre les yeux...

Que dire... je ne sais pas... On ne peu pas vraiment dire avec les mots ce que l'on ressent ou eprouvons... surtout les choses qui ont le plus d'intensité... J'ai l'impression que tout n'était qu'un rêve, peut être l'est ce réellement... Je voudrais ne plus penser à lui... Il me fascine et en même temps je le déteste... Où plutot ... je déteste me savoir ainsi... dépendante d'une autre personne... d'un etre tel que lui... j'ai la sinistre impression de n'être qu'un pantin, un jouet comme un autre qu'on brulera quand il ne servira plus, où qu'au mieu ont delaissera et oubliera dans un coin.... Je déteste cet espoir totalement stupide, la vie n'est qu'un jeu, les sentiments ne sont la que pour vous faire souffrir... Je deteste ce sentiment, cette impression d'etre une proie... Je me déteste d'être si faible, si misérable ... Je hait cette envie de n'être qu'a lui, je hait ce qu'il éveil en moi... Je... Je ne veux pas avoir à souffrir... souffrir par ce que ...inévitablement... aimer c'est souffrir... Et je souffre déja... Je lui donnerais tout ... j'en suis terriblement consciente...

Je dort... d'un sommeil sans rêve... Il m'appaise comme jamais je ne l'ai été durant mes repos nocturne ou diurne.. Je dort très peu repoussant toujours l'heure de dormir, ainsi j'echape aux rêves, aux cauchemards, a l'espoir, a certains souvenirs... Je me sens m'éveiller, cet instant où vous flotter entre deux eaux. Cet instant où vos pensées sont étrangement plus lucides car dénuées de l'habituel réflexion logique d'un esprit totalement éveillé. J'esquisse un sourire, mon esprit embué est conscient des risques qu'il a pris, pourtant je ne m'en veux pas ... Pour la première fois de ma vie j'ai acordé ma confiance sans limite... j'ai tout offert ... un sourire s'esquisse sur mes lèvres ...
Je commence à sortire de cette douce torpeur, la faim me tiraille et m'arrache lentement au sommeil... et acheve de m'éveiller. Je suis étendu sur le ventre dans le lit, les draps sont remontés sur mon corp... Je suis bien emmitouflé dans un cocons de draps soyeux... Je n'ouvre pas les yeux et esquisse un mouvement du bras, tatonnant dans le lit de la main gauche... cherchant Artamos.... Sa place est vide... Je m'y attendais mais en suit un peu décut. La petite sonnette danger se met a nouveau à clignoter... Lessa ça suffit ne te fait pas avoir... Tu sais tres bien que ça n'apporte rien. J'entrouvre les paupières et me retourne dans le lit. Je m'étire étendant tout mes muscles doucements.... Je me redresse lentement, je me sent faible et la faim me tiraille l'estomac de plus en plus... Je tend l'oreille ... Aucun son... Pas un bruits.
Il fait noir dans la chambre, je suis seule dans celle-ci. Mes yeux se pose sur le pied du lit, des vétements sont au pied du lit. J'y vois plier la robe, et a coté plier les autre vétements. Je me leve et passe la robe. J'apercois des mocassins, des savates, des chaussures talon bas et mes basquettes. Je reste pied nus et m'approche de la commode et prend le katana... on ne sai jamais, l'autre pourrai etre re venu...derisoire comme defense mais bon...
Je me dirige vers la porte de la chambre, le fourreau dans ma main gauche, j'ouvre la porte de la chambre doucement, toutes les portes sauf celle de la cuisine sont fermées. Je m'avance dans le hall, a l'écoute toujours pas un bruit. J'ai faim et mon ventre grogne sa faim ou devrais je dire hurle... Et puis je deteste cet état de faiblesse dans lequel je me trouve. J'ecoute mon ventre et me dirige vers la cuisine et y entre. Je porte ma main à ma gorge, pas une marque... rien, bizarrement je ne m'en etonne pas et je sourit... Mon ventre me ramene vite a l'instant présent et regarde dans la cuisine à la recherche de quelque chose a dévorer.
Elle est rangée, et parfaitement ordonnée, mon regard parcourt la piece... hier il n'y avait rien ou pas grand chose... Je pousse un soupir
De toute facon ... je ne suis pas chez moi
J'ouvre tout de même les tirroires, l'un est rempli de boite de conserve de tout genre, les autres sont pour la plupars rempli de produit frais et autres, je trouve a peu pret tout ce que je veux. Je sourit... Merci Artamos...
Je me prépare à manger rapidement et m'assied ensuite posant le katana sur mes genoux pour manger.
Je me sent mieux, ma faiblesse enfait a commencé a s'évanouir depuis un moment déja mais je m'en rend compte maintenant que mon ventre est plein. Je nettoie et range la cuisine et les ustensile puis, me dirige vers la salle de bain, katana en main, et me passe de l'eau glacée sur le visage, ce qui achève de m'éveiller. Je sort et ferme la porte. J'hésite... mon regard allant de la porte du bureau a celle du salon et vice versa. J'opte pour le choix le moins risqué apparemment pour l'instant. Je medirige vers le bureau et frappe doucement a la porte. Je n'entend rien. Je memord la levre et me tourne sur le salon... J'avance vers la porte et l'entrouvre doucement. Il fait noir a l'interrieur, j'ouvre la porte totalement et entre prudemment sur la défensive, prête a faire jaillir la lame. Je tatonne sur le mur a côté de la porte, mes yeux scruptant la pénombre, j'arrive enfin a trouver les interrupteur et les actionne. La lumière innonde la pièce, m'éblouissant quelques seconde. J'apperçois alors un bras posé sur l'accoudoir du fauteil me tournan le dos... Je recul un peu, mes peaumes se crispent sur le katana, l'une sur le fourreau, l'autre sur la garde. On ne sais jamais, même si ca ne sert pas à grand chose. La personne assise sur le canapé semble porté un costar...Je recul éteind et referme la porte ...Je retourne jusque dans la chambre a reculon. Je n'entend rien et me reprend doucement, je ressort de la chambre et vais vers le bureau et refrape...Rien... Je pose ma main sur la poignée et tente d'ouvrir la porte... elle s'ouvre il fait noir a l'intérieur de la salle. Je cherche un interrupteur et allume...J'apercois le bureau, les livres dans l'étagère ont quasiment tous été renversés par terre... Que s'est il passé...Les tiroirs du meuble ou est la télévision sont tirés... Une fouille méthodique... mais qu'y cherchait t-on ?Je vois tout juste le sol... tout est quasiment a terre...
ILs n'ont pas eut le temps de fouiller la chambre, sinon je ne serai certainement pas la. J'éteind la lumiere et referme la porte. Je reviens au salon et ouvre a nouveau la porte ; je reste a quelques pas en retrait dans le hall.
Les volets sont fermés, je ne sais s'il fait jour ou nuit .... l'horloge de la cuisine affichait 7h00... Mais du matin ou du soir ? Combien de temps ai-je dormis ?
Bonjour j'ai le katana toujours en main pret a être sorti.
Aucune réponse, j'entre dans le salon et allume. J'avance doucement faisant largement le contour du fauteuil pour arriver a me trouver face au fauteuil et a son occupant. La table basse en verre deva,t le canapé est cassée. Je regrade l'homme, il semble étre endormi sur le fauteil la téte penché sur le coté. Enfin... endormis ...vu la sorte de baton lui sortant de l'emplacement du coeur... un pieu...Il semble avoir le visage crispé, les muscle et la peau durcie. Je m'inquiete pour Artamos on ne se demandera pas pourquoi... Je m'approche doucement sortant le katana du foureau. Le katana dans la main droite je touche du bout du fourreau vide l'homme, il ne bouge pas. Je le détaille ainsi que le pieu. Il parait avoir la trentaine, assé corpulen, les yeux fermés, les cheveux court.
Je remet le katana au fourreau et tend la main ... Puis prete a bondir, j'essai d'entrouvrir les paupieres de l'homme. Il a les yeux injectés de sang, mais je ne voi pas sa rétine.
Je me recule... un vrai cadavre... on peu pa lui ouvrir les paupiere aussi facilement... enfin bref... J'observe la piece tout autour de moi cherchant une toute petite trace me permettant de savoir si Artamos va bien.. Je ne remarque rien d'autre dans l'apartement, a part la commode qui est fermée. J'ai cherché partout ... a moins qu il y ai des piece dérobées... Ce qui ne m'étonnerait pas. Je me rapproche de la commode et l'ouvre.
Donc ... cela s'est passé avant qu'on apporte a mangé... et ils n'ont pas tout fouillé...
La comode est fermée et bloquée. Je me baisse et essai de trouver ce qui bloque. En la tirant elle tremble, mais je n'arrive pas a l'ouvrir...
Je ne vais pas la defoncer quand meme... Je m'en détourne et tourne la tête sur l'ascenceur et sur le bouton d'appel à côté.
J'aurai mieu fait de ne pas sortir du lit...
Je vois alors une lumiére au dessus de la porte de l'ascenceur clignoter, je bénis ma chance ou mon instinct qui m'ont fait tourner le regard sur l'ascenceur. Je cherche la sortie du hall et eteind la lumiere. Je tire la porte sans la fermer. Alors que j'éteind, j'entend le DING de l'ascenseur arriver en haut. La porte s'ouvre quand je ferme la mienne...

J'ai eut chaud... très chaud... Je reste immobile derriere la porte entre ouverte, le sabre en main et regarde par l'entrebaillement. Je peu voir deux silouettes sortir de l'ascenceur et entrer dans la piece. L'un d'eux allume la lumière. Un homme et une femme... du moins leurs silouettes... mais... Je vois l'homme se dirigé vers la commode tandis que la femme se tien face au canapé avec l'homme...
Je commence à reculer doucement vers la chambre, sans un bruit... Maitrisant chacun de mes mouvements, à l'ecoute... La femme élève la voix :
-que fesons-nous de lui? on le raméne pour que le seigneur décide?
-ouais on verra déja cherchons
-bien je vais retourné fouillé dans le bureau je pense pas avoir bien fini, apré je ferai la chambre...
Je l'entend s'avancer vers la porte du hall tandis que je fait glisser la lame du katana hors de son fourreau atteignant la chambre à reculons... je tire la porte sur moi et me colle dos au mur a côté de celle-ci attendant ... J'entend la femme entrer dans le hall puis entrer dans le bureau
Je me decolle du mure et depasse sa robe et la pose sans bruit plié sur le lit puis, me glisse sous les drap le katana tiré hors du fourreau pret a frapper. Je ferme les yeux gardant seulement les paupieres entrouvertes, j'ai appris a feinter le sommeil et meme la mort... ma respiration se fait plus lente, je maitrise les battements de mon coeur enfermant mes pensées dans un voile noir... J'esquisse un sourire en repensant aux heures d'entrainement a mon passé... il disparait vite... a peine épanoui...J'attends, longuement... une bonne demi-heure je penseJe l'entend fouiller, renversant sans doute le bureau de fond en comble... si cela peu etre pire que ce que cça était déja...Un quart d'heure environ passe encore... plus un bruit ne vient du bureau... mes mains se crispent sur le katana, les jointures de mes mains blanchissant... prète a frapper...J'entend soudainn la voix de la femme dans le hall mais ne comprend pas ce qu'elle dit... Puis j'entend la porte s'ouvrir et la lumière s'allume... Je ne bouge totalement immobile...
-et! Jack! ya encore les reste de nourriture du sire dans son lit
Elle ricane, je ne bouge pas une colère sourde montant en moi... une rage froide incontrolable... tellement bien connue
-domage elle doit étre morte, j'aurai bien voulu un peu de sang chaud pour cette nuit...
L'homme répond mais je ne distingue pas ce qu'il dit. J'entends les pas de la femme se raprocher de moi, je ne bouge toujours pas... Je l'entend s'arréter entre le lit et la commode, elle entre dans mon champ de vision...Elle ouvre un tirroir, puis un second... Patiente Lessa... patiente... c'est trop tot... Elle jette quelque chose sur le lit, des vêtements apparemment vue le poid...Elle ouvre le tiroir suivant ...
wow, simpa
Elle pousse un sifflement avant de continuer à fouiller. Elle se baisse pour ouvrir le quatrieme et dernier tiroir... Je la regarde les yeux toujours au trois quart clos... prete a faire voler les drap et a frapper...
Elle prend dans sa main un sorte de pieu et rigole amusée, puie elle le remet dans le tirroir.
Je suis tentée d'agir... mais j'ai vu la rapidité d'Artamos et meme si cette chose est moins forte que lui ... j'ai des doutes sur ma rapidité. De plus elle est à bien deux metre de moi... du moins c'est ce que j'estime... Je la regarde toujours ne la quittant pas des yeux ... me demandant ce qu ils cherchent, elle se reléve et se dirige vers les portes coulissante. Ellle les ouvre tour a tour jettant les vétements par terre faisant les poches....Ca va être commode à ranger... Oui je sais... j'ai des pensées bizarres en de telles circonstances....
Elle se tourne dans la piéce vers moi, me jette un regard aprés un juron... Elle se dirige à nouveau vers la comode s'arrete face aux katana s et les regarde. Tu les touche je te jure que tu es morte. Je la voie lever un bras et prendre le fourreau du plus grand katana. Elle laisse échaper un nouveau juron admiratif. Je la regarde... bouillonant interieurement... la rage augmantant... devenant une vague de fond froide et lucide... Elle sort la lame et l'admire un moment puis la rentre à nouveau. Elle repose le katana puis se tourne vers moi. Je la regarde... Approche donc.... Approche... Elle avance sur le lit et se met au dessus de toi face a l'épée, un pied de chaque côté de mon corp... Je ne bouge toujours pas...
- wow je sais que je vais me faire plaiz...
Elle est pile au dessus de moi, un pieds de chaque coté et regarde l'épée. Je ne peu pas la laissé toucher l'épée d'Artamos... Je rejette les couvertures et fend l'air de la lame ... J'enfonce ma lame dans son corp visant au niveau de la colonne vertebrale...J'arrive a l'empaler dans toute sa hauteur.... elle se fige la lame dans le corps... Un sourire nait sur mon visage... Je suis calme, lucide, un feu froid et terrible bouillant en moi tandis que je degage le katana et essai de passer entre ses jambes me plassant derriere la femme, me relevant...
J'arrive à me relever sans mal et me place derrière elle. Je leve ma lame prete a lui assener un nouveau coup au niveau de la nuque pour lui trancher la tete. Elle se retourne et me regarde méchament elle ne semble pas souffrir... Je lui sourit froidement et lui murmure tout en abattant la lame :
Et non le garde manger n'est pas encore mort
Je la touche violement mais elle recule a temps... La lame lui fait une grande entaille au niveau de la poitrine. Elle se redresse aussitot et se jette sur moi en levant un poing pour te frapper. Je tente de l'esquiver... Elle me touche me frappant dans le ventre, mais pas assez fort pour me faire reculer ou faiblir... gentille carresse... Je replique attaquant de plus belle.
- Ca va tacher les draps...
Elle recule sous le coup recut... et semble défaillir...Elle retente de me frapper. Son bras se tend et frappe l'air juste devant mon nez... Je repart a l'attaque, fendant l'air, visant de la pointe de la lame la poitrine de la femme
- Que cherchez vous donc ... ?
Ma lame se plante en plein coeur... et elle se fige soudain. La lame de mon katana ressortant de l'autre coté...Je retire la lame et elle tombe a genoux puis, comme une pierre sur le lit. Je la regarde sans un mot... Sa peau semble dur et les muscles crispés. Ma rage froide continuant de couler dans mes veines... Je reste lucide... Il reste l'autre ce Jack... Je secoue la tête me voyant clairement ...en sous vetement sur un lit un katana a la main et un corp devant moi... Le katana n'a casiment pas de sang... Je la pousse de mon pied nu, elle ne bouge pas...Je me tourne ensuite et me dirige vers la porte de la chambre...Le fourreau a la main gauche et le katana dans la droite. De toute facon n'a plus le choix... l'autre va vouloir voir la femme... Sa voix s'élève alors tandis que je m'apprete à entrer dans le hall...

Je suis dans l'encadrement de la porte, mes pieds nus foulant le sol.
alors tu a trouvé? j'ai entendu le bordel monstre que tu a foutuJ'avance dans la piece ....et le voie devant la commode avec un pied-de-biche a essayé de la forcer... Je me rapproche encore ne dissimulant pas ma présence... prete a me defendre
-alors tu a trouvé?
Il est toujours penché sur la commode et se penche en arriére en tirant le plus fort possible sur le pied-de-biche. J'arrive derriere lui et leve le katana... prete a l'abattre...
Elle n'a pas trouvé ce qu'elle cherchait.
Il se tourne et me regarde abasourdi. J'abat ma lame visant l'epaule. Je le touche mais bloque sur son épaule,sur ses os...cependant il semble défaillir sur le moment avan de reculer contre la comode. Il envoie ensuite son poing fermé sur moh visage. Il me touche a la machoire mais d'un faible coup, qui me ferai presque sourire.
Que cherchez vous ?
Dis je d'une voix froide en fendant l'air de la lame pour tenter d'entailler sa gorge... Il recule la téte juste a temps je ne lui laisse qu'une entaille sur la gorge. Son bras se détend et me touche plus fortement a la machoire. Je replique d'un double mouvement simultané : le katana visant la poitrine , le fourreau essayant de viser la tempe. En le questionnant d'une voix froide et sourde...
Ou est Artamos ?
Je le touche avec le katana mais le frolle avec le foureau...Il me frappe à nouveau sans me faire défaillir... Et je replique aussitot visant la poitrine il se pousse sur le coté juste assez pour esquiver, il tente de me frapper alors que mon corp effectue une fente avant parfaite... il ne fait que me froller la joue
Petit tres petit... dis je en visant maintenant la gorge
Je reléve mon katana vers sa gorge, il tente de m'echapper dans une tentative désespéré de reculer... mais inssufisante... Je plante le katana le long de sa gorge... et comme tu papier... sa tête glisse sur la lame. Je vois la lame de mon katana lui détacher la téte de son tronc sans meme un gros effort ... sa tête viens rouler à terre...Alors que je regarde le corps tomber a terre... Il se décompose a une vitesse extreme... avant de disparaitre en cendre sous mes yeux.
JACK!!
La voix de la femme a la porte du salon... je suis mal... j'aurais dut lui m'assurer qu'elle ne se releverai pas...lui ...trancher la tête... Je me tourne sur elle. Elle semble très faible... plus blanche que jamais... Elle avance d'un pas quelque peu clodiquant vers moi...Je me rapproche d'elle ...le katana pret à frapper... Je voie alors son visage se déformer... sa machoire s'alonger, ses bras aussi quelque peu, ses yeux semblent rougir, s'injectet de sang, ses cheveux semblent reculer sur son front, qui s'allonge...
Je suis très mal...
Elle ouvre la bouche pour me dévoiler deux longues canines, un sifflement agressif envers moi en montrant ses mains griffues...
J'attaque sans hésiter ni faillir... visant la poitrine ...et la frappe violement... mon katana lui traversant le corps...Bien que le katana la traverse au niveau du ventre elle me frappe violement de la peaume de la main et me repousse de trois mètres casiment sans effort....Je garde mon katana bien en main. Prete a repartir à l'attaque. J'entend alors le "DING" de l'ascenceur.
Je me recule...Un à la fois c'est beaucoup alors deux plus celui qui n' s'est pas encore reveillé... sur le canapé. Je voie la pseudo-femme qui se dirige ver moi les bras sur les cotés.Je m'apprete a devoir me defendre ...Alors qu'elle est a deux mètres de moi... elle se fige nette.
Je voie son visage redevenir comme auparavent en un rien de temps... un pieu a une vitesse folle vien de se planter dans sa poitrine.
Je contemple la scene sans bouger ... MOn regard se tourne sur l'ascenceur....Je voie sortir Artamos, avec un genre de grosse arbalette, et s'approcher de la femme figé qui tombe a terre. Je tait mon soupir de soulegemment ... Il va bien...Je le regarde rassurée et en meme temps je sent la pression de l'adrenaline retomber. Il sort sorte de machette et lui coupe la téte net. Je le regarde faire laissant retomber mon bras le long de mon corp le katana toujours a la main. Le corp de la femme se décompose comme celui de son compagnon en un rien de temps et laisse des cendres... Il se tourne enssuite vers le cadavre sur le canapé et lui coupe aussi la téte. Je ne bouge pas le regardant... Il se tourne sur moi.
Désolé du retard, ils m'ont surpris et j'ai essayé de fuir pour les éloigner d'ici, mais ils sont revenu avant moi
J'ai pu me debrouiller...
Je voi ca... vous avez donc eu l'autre homme?
Si j'avais pensé a lui coupé la tete... avant... mais des cendres dans un lit... regardant le tas de cendre qui était la femme.
Ce n'est pas grave se ne sont que des draps...bien venez
J'hesite
On doit partir d'ici quelque temps ils pourraient s'en prendre a vous
Il passe a coté de moi pour allez dans le hall...

J'ai toujours revendiqué mon indépendance, toujours voulu me débrouiller seule etre maitresse de mon destin.
Depuis aussi longtemps que je m'en souvienne j'ai toujours eut cette farouche volonté au fond de moi.
Un gout profond pour la solitude, une passion pour les beautés naturelles des choses de la nature et de l'esprit.
Pourtant ... j'ai au fond de moi cette passion pour la violence... Peut ont réellement appeler cela violence ?
Enfant je rêvais d'etre un chevalier, un croisé, un templier... D'etre un indien se battant contre les conquistador...
J'avais soif d'etre un héros... un aventurier comme Indiana Jones ou Bob Morane... Soif de Liberté, d'aventure ...
Je revais de pays sauvages, de lieux inviolés, de vie au milieu des animaux en communion avec la nature... comme Tarzan.
Je passai des heures à rever ... a m'imaginer héros dans un monde antique, pionnere de l'espace... cavaliere d'un dragon sur une planete lointaine.
Peut etre est ce pour ca que je me suis engagée dans l'armée... cette soif d'aventure... d'actions de découverte...
J'y ai decouvert une nouvelle famille. Quand on entre dans l''armée on n'apartien qu'a elle...
On dit bon soldat qu'il soit fantassin ou général est capable de tuer sa famille si sa patrie le demande...
Horrible... peut etre mais c'est ainsi. Ce n'est pas par ce qu'un soldat est une machine sans cervelle, loin de la, mais par ce qu'avant tout un militaire ne sert qu'une famille : sa patrie. Chasseur un Jour Chasseur Toujours...
Certain mots reviennent difficilement par la suite... On ne dit pas rouge ( sauf pour les levres de sa femme ou de son mari) mais bleu cerise, on ne dit pas jaune mais jonquille...
J'ai aimé ce corp comme celui des Dragons... ce n'est pas la disciplines, ni la rudesse qui m'ont fait quitter l'armée...
Mais l'horreur... L'horreur quand je me suis rendu compte que j'aimais ... le combat, le sang...
cette montée d'adrénaline qui viens et emporte tout et qui agrémentée par la peur se mue en une rage dévastatrice et aveugle... Oui je me suis fait peur... Je me suis vue... telle que j'etais... un monstre... comme ces conquistadors que j'haissais jadis...
Pourquoi vous dire ceci par ce que je n'ai aucune excuse a me trouver, par ce que je sais que je ne suis pas bonne ni mauvaise.
Peut etre pour vous expliquer la rage qui me saisit quelquefois. Je ne cherche pas a me justifier aucune excuse...
C'est cette même rage qui m'a saisit face a cette femme et a cet homme vampire... une rage froide ... il sont l'ennemi... voila tout ce que je savais... Oui vous pouvez me juger... mais je n'ai peur que d'une chose en ce monde et a juste titre...
Oui je n'ai peur que d'une chose et c'est de moi meme... car je sai que je suis capable du meilleur comme du pire...
Oui j'ai peur de moi même... car je me connais...

Je me rapproche de lui rangeant le katana... et m'arrete dans le hall et je murmure :
Je ne pouvais pas continuer de faire la morte et la laissé toucher a ton épée...
Je le regarde entrer dans la chambre et l'y suit m'arretant dans l'encoignure de la porte.
Tu t'es bien battu Ilse met a genou devant la commode ouvrant le quatrieme tirroir, il en sort un fourreau fixés sur une sangle avec des attache pour fixer une garde d'épée
Que voulaient ils ?
Il se reléve se dirige vers le mur derriére lui et prend son épée. Je devrai aussi penser a m'habiller ...
rien ne vous inquiétez pas... Vous étiez sur leurs chemins simplement
Ca je l'ai vu...
excuse moi de t'avoir laissé ici tu n'ai pas aussi en sécurité que ca
Artamos ...
Il se reléve et me regarde
peut-tu t'habiller ?... nous devons sortir
Que cherchent ils ?
J'aquiesce et cherche un jean un tshirt et un pull... dans le tas de vetement a terre. Il me regarde et me sourit
du pouvoir, plus de pouvoir...mais je ne laisse certeinement pas trainé mes objets comme sa.. en riant bien je vous rejoind devan l'ascenseur
Il sort alors de la chambre, je pose le katana a terre et m'habill. Je me mord les levres, frustrée par le vouvoiement d'Artamos ... blessée...
Oui un garde mangé ... me dis je a haute voix. J
e met les basquettes et puis cherche un blouson long et glisse le katana dans la ceinture... je ne peu pas le garder a la main. Je sort de la chambre et me dirige vers le salon et attend devant l'ascenceur.
J'attends quelques minutes avant de le voir passer devant la porte pour entrer dans la cuisine. Je fronce les sourcils
pas cette main...
Il ressort une bonne minute aprés avec un sac a dos, un long manteau (a la matrix) avec son épée dans le foureau a sa ceinture. J'attend sans mot dire et jette un regard a la commode toujours pas ouverte. Il s'en approche justement, il pose sa main sur la poigné attend deux secondes, puis l'ouvre aisément. Il passe son sac a dos devant lui, l'ouvre et y glisse un petit paquet emballé de la taille d'un coffret DVD. Je le regarde et attend toujours immobile et silencieuse. Il referme son sac, le tirroir et se tourne vers moi et me rejoint. Il appel l'ascenseur.
voila, on va pouvoir y aller. Tu n'es pas blessé au faite?
Il me regarde alors que la petite lumiére au dessus de la porte commence a clignoter. Je fait non de la tete, perdue... vous... tu... vous...
bien j'espére qu'ils ne t'ont rien fait ....
"DING" la porte s'ouvre
Aucune importance
Il me regarde et me sourit. Je detourne le visage et le regard prete a suivre... Il entre dans l'ascenseur et m'attend avant d'appuyé sur "RDC"
J'entre... Les portes se referme et l'asccenseur descend lentement. Apres la montée d'adrénaline que j'ai eut, je me retrouve comme dans un etat secondje me retrouve comment dire un peu tremblante mais me maitrise ... se battre contre deux toute seule... j'ai eu de la chance
Alors comment ca c'est passé? Tu na pas eu trop de mal avec ceux la j'espére...
J'ai eut l'effet de surprise...Elle n'avait même pas remarqué que j'etait vivante...
Tu était sous les draps encore ? souriant amusé Bravo, bonne idée
J'y suis retournée... Et je l'ai attendu... que voulais tu que je fasse ?
te cacher quelque par .. attendre qu'ils repartent...
enfin je ne te reproche rien, au contraire. Bravo
Et qu'elle prenne ton épée ? Elle a déjà fait l'erreur de toucher au katana ... et la ça a été dure de na pas bouger...
et bien..merci pour cette vengeance
Je me tien dans un coin de l'acenseur assez loin de lui...
j'aurai aimé étre la pour ne pas que tu préne de risque ...
Il se tien au milieu de la cabine, il remet bien son manteau sur ses épaules pour dissimuler son épée dessous. L'ascenceur s'arréte soudain au 13eme...

Artamos se dirige ver les boutons et réapuie sur RDC.
et !? mais...que...
Je passe ma main sous le blouson prete a sortir le katana. Dans quoi allons nous encore nous retrouver... face à combien... L'ascenceur ne bouge plus du tout
Artamos....
et bien... on va encore devoir se dépatouiller de là
Il arrive face a la porte, et avec les mains, simplement, ouvre les portes
Je n'aime pas que l'ascenceur se soit arrèté comme ca ...Aparement nous sommes un peu en dessous du 13eme, le sol de l'etage est au niveau de nos cuisses. Artamos monte sur l'étage et se tourne en me tendant le bras pour m'aider a monter. Je la dédaigne... vexée par ses vous...
[00Je m'avance ne prenant pas sa main et monte...Je me redresse...regarde...Artamos recule alors sa main et me souri, je ne repond pas a son sourire... le visage fermé ... détournant mon regard trop parlant. Il regarde les trois couloirs qui se proposent a nous : gauche droite ou en face un large couloir. J'esquisse enfin un sourire...
et bien, prenons l'escalier alors. en riant
Je vous suit...
Artamos se tourne vers la gauche puis se dirige vers une porte avec le signe de sortie de secour. Je lui emboite le pas toujours sur le qui vive les nerf a fleur de peau prete a sortir ma lame. Il ouvre la porte... s'arréte un instant et referme la porte. Il se tourne vers moi.
demi-tour en faite. souriant
Je le regarde...
Il y en a d'autre ?
Il me dépasse et avance dans le couloir, je le suis...
je ne voudrais pas vous faire prendre de risque, ils semblent coriaces...
Il avance dans le couloir et s'arréte et se tourne vers moi.
A oui, maintenant vous en aurez surment plus besoin
Je m'arrete a son niveau et le regarde, l'interrogeant du regard.
Plus besoin ?
Artamos passe sa main dans sa poche intérieur et sort l'arbaléte grosse comme tout...et me la tend...
tenez vous vous défendrez mieu qu'au corp a corp...
Je la prend me taisant ...Il se retourne et avance dans le couloir puis tourne vers une autre porte avec le signe de sortie de secour, il prend l'escalier et descend
Et vous pensez que je serai assez forte pour la manier correctement...
Dis je en le suivant
vous visez et tirez de préférence dans le coeur. Mais oui je pense que vous y arriverez et c'est moin risqué qu'au corp a corp contre des étre 10 fois plus forte que vous...
Nous descendons quelques étages avant d'entendre des bruits de pas plus bas ainsi que des voix. Artamos s'arréte et sort son épée
Et bien, je pense que nous ne pouvons maintenant plus beaucoup fuir...
Je me prepare et m'avance au coté d' Artamos prete a tirer...Il descend un escalier et attend en haut de marche. Il tient l'épée droite devant son visage.
je m'occupe des deux premiers, et je vous laisse le suivant le temp de les tuer
Oui ...
La meme rage froide remonte en moi, j'entend en effet distinctement 3 voix monter maintenant, ils arrivent juste a l'étage du dessous. Je vise ... prete a decocher le pieu.Soudain ils arrivent presque cote a cote... Artamos reste sans bouger, et avant meme que je puisse faire quoi que se soit, je vois deux des vampires se retourner comme pour fuir et s'écrouler à terre... Je decoche le carreau dans la poitrine du troisieme... Je le touche en plein coeur, et il s'arréte net. Artamos descend un peu et le décapite ainsi que les 2 autres. Je réarme l'arbalette tout en descendant.
J'attends Artamos, il me rejoins puis nous descendons jusqu'au rez de chaussé sans mal. Il sort dans le hall principal de l'immeuble et avance, je le suit. Il prend un autre escalier non loin pour descendre dans le garage. Je le suit toujours juste un pas en retrait derriere lui. Il entre dans le garage et la monte dans une berline. Il ouvre la porte passager pour me faire monter. Je monte donc dans la voiture... à la place du mort...

Artamos monte a la place conducteur et démarre, il fait chauffer le moteur lorsque devant nous nous appercevons quelque chose bouger dans l'ombre entre deux pilonnes porteur du plafond...
Mon regard scrupte l'ombre, mes mains se crispant sur l'arbalette...Artamos se tourne vers moi
Attachez votre ceinture ça risque d'etre plus mouvementé que prévu.
Je m'éxecute. Il accélére et prend droit dans le couloir du parking pour aller a la sortie...Je vois alors pleins d'hommes sortir d'entre les pilonne et arriver devant nous se placant sur notre route. Artamos ne dévie pas sa trajectoire.... Je sent que ca va etre cocasse...
Ils semblent assez blanc mais leur regard est vite, les mouvements un peu lents, leurs visages sans expression et avance droit sur notre voiture.
Artamos accélére et fauche les premiers... qui vole de tout sens. C'est ce qu'on appel un stryke ...
Artamos... ils n'ont pas d'ame... dis je a voix basse m'attendant au pire.
Soudain je voie face a nous juste devant la sorti des hommes habillés plus facon militaire, et armé de fussil-mirtailleur, trois se placent sur le chemin de la sortie et commence a nous tirer dessus... Artamos ne me répond pas. Mes reflexe me font me baisser lorsqu'ils ouvre le feu...J'entend les balles fuser contre la voiture, elles semblent ricocher contre le pare-brise et la carosserie... La voiture accélére toujours enfin lorsque j'entend de plus grand choc comme lorsqu'il fauchait les hommes, et la voiture tourne précipitement lorsque je me relève...Je me redresse donc et me cale dans mon siege. Je vois alors que je me lève les hommes se faire projeter sur le coté et la voiture sortir dans la rue.
Tu devrais apprendre a conduire... ce n'est pas bien de jouer au quille...Même pas un stryke dis je en regardant dans le retroviseur
Artamos accélére enfin dans la rue... lorsque en face de nous un camion sort d'une rue perpendiculaire a la notre et se met en plein milieu de la route...
Et merde...
Artamos me jette un regard et sourit puis regarde a nouveau en se concentran tsur la route
et bien... il va falloir aviser...
Je ne dit mot attendant les ordres, Artamos ralentit, et d'un coup de frein main fait un demi-tour... assez spéctaculaire s'il nous n'aviion pas été arrété contre un mur durant le demi-tour avant de repartir...Il repart en sens inverse, lorsque de l'autre coté nous apercevons un autre gros 35 Tonne se placer au milieu de la route... Heureusement j'ai ma ceinture...
Aratamos s'arréte aproximativement au milieu de la rue a meme distance des camion...
bon, prend le volant je vais les faire dégager la route
Artamos...
Il sort de la voiture et d'un bon saute au dessus pour arrivé du coté passagé. Il ouvre ma porte, je defait ma ceinture et me glisse coté conducteur, je suis petite je passe partout... oui toujours ces pensées stupides... j'esquisse un sourire
bon je vais avancer, et des que le camion recule tu avance et me reprend ok?
Avant que j'ai eut le temps de répondre, il referme la portiére sans la claquer pour la réouvrir rapidement. Il se tourne vers le camion en face et avance d'un pas sure...
Je m'aprete a rouler... le pied sur l'accélérateur... Je le voie arriver au milieu entre la voiture et le camion...Trois personnes sorte du la cabine, et j'apercoie aussi d'autre homme et femme passer par dessous le camion et les rejoindre, j'en apercois aussi dans le rétroviseur pret de l'autre camion, j'en compte sept devant, cinq derrière. Artamos se tiens droit la téte tourné vers les sept devant la voiture... Ll'un deux fait demi tour et entre dans la cabine du camion, tandis que trois autre tombe a terre comme inconscient. Artamos s'avance encore vers les trois restant. Je le voie sortir son épée j'appuis doucement sur l'accelerateur... Les trois vampires visent alors Artamos et tirent quasiment ensemble, il évite aisément les pieu j'ai à peine le temps d'apercevoir ses mouvement pour esquiver...J'accelere encore.
J'avance vers Artamos celui ci se dirige extrémement rapidement vers les trois vampires restant l'épée en arrière puis, il la raméne en avant en un geste vif pour en décapité un d'un cou en passan a coté de lui...
J'arrive enfin a coté de lui en plein dans son combat, ou il décapite un autre vampire qui tombe en poussiére avant d'ouvrir la portiére de la voiture et d'entrer.
J'appui sur la pedale pour depasser le camion. J' arrive de l'autre coté du camion, et je voie en passant devant la cabine l'homme dedan sortir une arme et la pointé sur sa tampe mais je ne voi pas la suite...

Nous somme à présent dans la rue, une avenue ou une rue de quartier administratif avec d'inombrable feus tricolores. Je jette fréquement des regards aux rétroviseurs, voir si nous ne somme pas suivit, j'accelere encore.
Je vais ou ?
tout droit pour le moment, vous prendrez à droite au 3eme feu.
J'obeis et ralentis tout de même il manquerait plus que nous nous fassions arreter par les flics... Je passe un deux trois feu et tourne a droite. Je jette un sur le tableau de bord de la voiture et voie qu'il est 8h30... il fait encore nuit mais le ciel tend vers le rose...La ville s'éveille et je voie des voitures autour de nous. Je jette un coup d'oeil a Artamos. M'inquiettant pour lui... Le soleil ne fait pas bon ménage avec les êtres tel que lui... du moins c'est ce qu'on dit.
J'espere que ce n'est pas tres loin ...
Artamos regarde dans le rétro de son coté pour voir derriére, il reporte ensuite son regard sur la route.
Prenez ensuite à gauche après le deuxième stop. J'éspère surtout ne pas étre suivit de trop prèt.
J'obeit et tourne au second stop a gauche
A droite encore a la prochaine
Ensuite jettant toujours de temps à autre des regards dans le retro et en tournant a droite. Nous passons a coté d'un parc à ma gauche.
Faite le tour du parc
J'obtempère et tourne a gauche puis contourne le parc. Nous atteignons l'autre côté du parc.
prend la ruelle face a l'entrée du parc a coté de la pizzéria
Je suis toujours ses instruction et entre alors dans une ruelle ou seule une voiture peu entré, en face la ruelle fait un coude, mais la voiture pourra pas passer.
arrète toi la s'il te plait
J'obtempere et m'arrete éteignant les feus. Je tourne mon regard sur Artamos et attend...Il sort de la voiture
viens on descend la
Je descend et me penche pour récupèrer l'arbalette.
laisse l'arbalette
Je la repose...
Ca passera mal sinon... dit il en essayant d'avoir l'air ironique.
Je lui prend la main
La ca passera mieu
Artamos se tient droit, il remet son épée bien a son coté, son manteau sur les épaules, comme s'il tentait déséspérement de paraitre plus présentable. Il tourne la téte vers moi et me souri. Je lui rend son sourire, lache sa main et réarange la tenue d'Artamos.
Je doute qu'on soit crédible de venir de toute facon a cette heur alors que c'est fermé dit il en rigolant.
Je voie le soleil se lever entre les haut batiments administratif... Je lui reprend ensuite la main verifie que le katana est toujours en place et ne se voi pas. Je reconnais pas mal de batiment du type europeens... Je le regarde a la fois inquiète pour lui et en colère contre lui... vous.. tu ... exaspérant... je ne suis pas un pantin ...
Artamos... il n'y a pas d'heure pour les retardataires... Allez depeche toi...
Il me sourit et se dirige dans la ruelle en coude pour entrer par derriére, je le suit ma main toujours dans la sienne. Il frappe a une porte on dirait grosse porte de casino privé en acier une petite trappe pour regarder à l'extérieur. La trappe s'ouvre et se referme aussitot, je ne bouge pas... La porte s'ouvre dans des cliquetis de serrure. Je lache la main d'Artamos. Il entre la porte reste ouverte comme t'attendant, j'entre...
Aratamos avance dans un petit hall noir avec juste une porte devant. Une sorte de gros gorille nous ouvre la porte. Je suis ... desorientée moi non non, juste un peu perdu... Nous entrons alors dans un sorte de couloir, d'un coté au bout un escalier, de l'autre deux portes de chaque coté du couloir. Le gorille referme la porte d'entrée et du couloir dès que nous l'avons passée...Je reste pret d'Artamos le suivant. Il se dirige d'un pas assuré vers l'escalier. Je le suit un pas derriere lui ne soufflant pas un mot.. muette. Artamos monte les marche, en haut un autre couloir dans l'autre sens, superposé a celui de dessous... ainsi que deux portes face a face un peu plus loin et une autre porte tout au bout du couloir tournée vers le côté pizzéria.
Artamos se dirige vers la porte du bout et se tient immobile devant un instant. Je m'arrète à quelques pas derriere lui... Je suis même tenter de reculer.... Pourquoi cette envie... En tut cas je n'avance plus restant la où je suis. Artamos semble prendre son inspiration, puis frappe. Aucune réponse...J'attend ... calme ... pour une fois Il refrappe a nouveau. Toujours rien, il refrappe lorsque enfin une voix semblant provenir d'une personne agée se fait entendre de l'autre côté de la porte.
oui oui c'est bon entrez pas besoin d'insister
Artamos ouvre la porte et entre gardant la porte ouverte. Je ne bouge pas, mon instinct ou je ne sais quoi me dit de ne pas bouger. Je ne sai pas quoi faire et attend. Artamos me jette un regard sans expression puis cligne les yeus comme aprobation me voyant rester a ma place avant de fermé la porte derriére lui. Je reste immobile. J'attend bien cinq minutes lorsque la porte s'ouvre a nouveau. Artamos se tien devant l'encadrement. Il me sourit faiblement.
viens s'il te plait
Je m'approche... lui obeissant, il s'écarte de l'encadrement pour me laisser entrer. Je l'interroge du regard mais entre sans un mot.
J'entre dans une piéce sombre, genre bureau, de la fumé de cigare empeste la piéce, de grandes étagéres couvrent les deux cotés, un bureau en face de toi, deux fauteuils devant le bureau, un grand fauteil confortable de l'autre coté, l'obscurité qui règne dans la pièce ne me permet pas de voir le visage de l'homme qui y est assis... d'ailleur ma vue se trouble lorsque je regarde dans sa direction comme si des larmes me montais aux ou comme quand on regarde dans l'eau sans lunette... Je détourne le regard et le pose sur un des fauteuils.
Bonsoir monsieur...
et bien voici ta nouvelle protégé Artamos
Oui sir, elle m'a aidé... voila pourquoi je voudrais que vous m'accordiez ma requète
comment t'appel tu? me demande l'homme, Artamos se tenant droit à mes cotés.
Lessa ...
Lessa... interessant et vous étes de?
J'hésite... pourquoi ... Ces questions... quelle requete...
Origine ou vie actuelle ?
Il eclate de rire, d'un rire soudain comme si un chérubin venait de lui raconter une petite blague
et bien les deux
Bourgogne pour le premier... Paris pour le second
paris? le prince se porte-t-il bien la bas?
...Je n'en sais rien...
Elle n'est que depuis très peu de temps au courant sir
Je suis navrée...
bien... je pense que tu as raison Artamos... allez va...
Je m'intérroge sur ses dernieres paroles, sur cette coversation dont je suis l'enjeu.... Mais je me tait.
merci monseigneur
Artamos marche a reculons vers la porte puis l'ouvre et se tourne pour sortir attendant que je soit d'abord passé
Aurevoir monsieur...
Je sort ... Artamos me suis et referme derriére lui. je m'arrete l'attendant et tourne un regard interrogateur sur lui.Il se tourne vers le couloir et s'y dirige pour redescendre l'escalier. Il s'arréte en haut de l'escalier, je le suit silencieuse, il regarde souriant immobile. Je lui rend un sourire hesitant.
pas ici... parlons en dehors
J'aquiesce d'un signe de tete, il descend puis entre dans le petit hall ou attend assis sur une chaise, avec une pile de magasine, le gorille. Celui-ci nous ouvre la porte et referme derriére moi. Une fois dans la ruelle Artamos se dirige vers la voiture et entre à la place du conducteur, je monte donc côté passager. Le jour est clairement levé, de plus en plus de voiture circule dans la grande rue. Artamos retire son épée pour la poser derriére lui afin de pas étre géné.Je regarde Artamos puis l'exterieur.
et bien, nous y voila
Je tourne ma tete sur lui
Ou ?
a la fin de tes péripethies. Je te fais reconduire sur paris?
Mes peripéthies...
je suis désolé de t'avoir fais subir tout ceci...
Comme si je m'etait amusée... à me retrouver nue ... dans un cimetiere
cela je ne pourrais l'expliquer
Je le regarde et lui souris
Tu n'a pas a l'etre.... Et je te dois ma vie...
en effet... j'ai réussie a la gardé devant le sir
Donc je te la doit par trois fois deja...
Il rit doucement.
Je ne pense tout de meme pas...
Quand a paris... je n'ai guere envie de te quitter...
maintenant je te laisse le choix
Je detourne la tete et regarde par la fenetre
mais il est dangereux de rester avec moi, tu le sais maintenant
Je fronce les sourcils... Je n'avais pas fait attention mais remarque maintenant qu'il n'a plus le sac à dos su'il avait quand nous somme entré dans la voiture...Je me tourne sur Artamos a nouveau.
Apres... c'est a toi de voir si ... je ne serai pas un poids ou une gene...
tu ne l'es pas, au contraire tu ma aussi sauvéDit il en me souriant.
j'aime son sourire... Je lui souris aussi.
Ca j'ai de serieux doute
maintenant je dois avoir ton avis, ou veut-tu aller?
Je le regarde...
J'ai envie de retourner chez moi... mais je veu rester aupres de toi...

Je baisse la tete, voila... je me l'avoue en même temps que je lui avoue... je ne peu me séparer de lui... je me mord les lèvres...
je ne peu malheureusement pas partir de luxembourg. Je suis prince de la ville...
Alors je reste... si toi tu le veux aussi...
du moins je l'ai été, et compte le redevenir et je voudais justement te demander ton aide maintenant...
Je releve la tete et le regarde
Elle t'es aquise... depuis déjà longtemps...
merci dit il me souriant
J'esquisse un timide sourire
Je pense... des que... tu a regardé mon cerceuil...que je t'ai vu le regarder...
Il se tourne totalement vers moi.
je savais à ce moment qu'une humaine était dans l'église Dit il me souriant
Je lui souris, un vrai sourire...
du moins une présence autre que ... non-vivante
Je le regarde, lui souriant à nouveau timidement, rougissant légèrement détournant le regard. Je déteste etre ainsi...
Tu aurai preferé que je fuit ?
Il s'aproche de moi, par dessus des leviers et colle au moment de la fin de ma phrase ses lévres contre les miennes. Je repond a son baiser fermant les yeux. Je leve la main et vien carresser tendrement son visage. Sa joue est froide mais je la sent lentement se réchauffer. Je me recul et lui sourit, tentant de me ressaisir.
Ou m'emmenez vous prince ?
pour le moment, je ne le puis a ma résidence principale... et mon shérif est porté disparue, je vais donc allé a ma seconde résidence en ville... a l'abris.
Je le regarde me demandant s'il aime les chats et les chiens... Si eux l'aime, repensant à leur réactions face aux êtres qui jouaient avec moi à Paris. Je ne veux pas les laisser...Je devrais retourner les chercher...
je ne sais pas, mais je vais les faire ramener ici si tu le désire...
Dit il me souriant, je remarque qu'il a plongé son regard dans le tien depuis un moment, son expression était passé sérieuse l'espace d'un instant il me sourit a nouveau. Je lui souris et me penche pour l'embrasser a nouveau. Je l'enlace.
Merci ... en un murmure sincere et heureux... heureuse d'être la avec lui et de ce qu'ils vient de dire.
Artamos passe un bras derriére moi pour me sérer contre lui. Il se recule doucement de moi gardant son regard dans le mien. Je ne le détourne pas... Je n'ai rien à lui cacher... n'en ai aucune envie...
Je lui souris. Artamos regarde deriére lui par le parbrise arriére, je suis son regard.... Il se tourne vers le volant en me faisant un grand sourire, je lui rend son sourire et m'instale dans le siege passagé.
Et qu'elle aide puis je t'apporter ?
pour le moment, rester avec moi et m'aider a choisir...
Il démarre le véhicule, recule dans la rue et part dans la ville.
Je serai la tant que tu voudra de moi... et même apres... lui dis je a voix basse mais tres serieuse, sans le regarder.
l s'arréte à un stop et te regarde. Je sent son regard et tourne mon visage sur lui.
je voudrais je pense bien longtemp de toi... ne t'inquiéte pas je te garderais aussi longtemp que possible après de moi
Je lui sourit sans un mot. Il repart et parcour un moment la ville. Les grands batiment disparaisent petit a petit pour de plus petits... Je voie clairement le soleil aparaitre... maitenant. Je regarde la route ... Je regarde le soleil... légèrment inquiète...Artamos s'arréte au bord de la route a l'ombre d'un immeuble
pourrais-tu conduire? me demande t'il gèné
Bien sur...
Je sort et vai du coté conducteur, je suis de plus en plus inquiète pour lui....Artamos sort et va a la place du passagé.
merci
Artamos s'installe en fourrant son manteau sur lui. Je monte et redémarre.
prend tout droit, tu aura une entré autoroute, tu la prendra ver Alzette
puis une fois la bas, a la premiére sorti tu entre en ville, tu véra une église sur la droite garre toi dans le parking
J'aquiesce muette et suis les instructions... Je roule vite ... mais respecte tout meme les limites de vitesse a plus ou moins dix kilomètre heure. Je jette de temps a autres des coup d'oeil a Artamos inquiete
Nous arrivons en dix minutes dans la ville, et au parking de l'église. Je me garre.

Je jette un nouveau regard inquiet en direction d'Artamos. J'arrête le moteur.
Merci me dit t'il avant d'ouvrir la porte de la voiture, il sort dehors et se précipite a l'ombre de l'église. Je le voie se coller contre le mur extérieur les mains contre le corp. Je le regarde... Terriblement inquiète et sort de la voiture à mon tour, gardant les clefs dans ma main. Je le rejoint... Je le prend par la taille.
Viens...
Il relève le visage... J'ai a peine eu le temps d'apercevoir son visage ... couvert de cloque, brulé au second voir troisième degré... Je recule d'un bond, instinctivement, sous le coup. ... a cette instant il rebaisse le visage et dissimule ses mains.
Artamos... les larmes me montent aux yeux... je n'ai jamais été a ce point inquiète pour quelqu'un.
Artamos reléve enfin la téte et tout a disparus, du moins a mes yeux, je ne voie qu'un visage blanc... Lisse et vierge de toute brulure.
oui c'est bon, excuse moi. Ne t'inquiéte pas... je n'ai rien
Il me sourit en disant ses paroles. Je me reprend et aquiesce en silence mais mon regard marque toujours mon inquietude. Alors que je m'attarde sur son visage ma vue se brouille légérement devenant floue comme avec l'homme... Ce qui me confirme dans mes doutes... il est bien blessé et je ne voie en ce moment qu'une illusion.
Il faut te mettre a l'abri...
en effet...et j'ai d'ailleur oublié mon épée
Il le dit comme une simple remarque. Je me détourne de lui et retourne vers la voiture en courant. Je récupère son épée derriere le siège conducteur et l'arbalette derriere le siège passager ainsi que mon katana. Je reviens à lui en courant. Je lui tend son épée il la reprend en me remerciant d'un signe de téte. Il se tourne ensuite vers l'église et avance le long du mur. Je le suit; nous arrivons à la porte arrière, celle servant au prêtre pour rejoindre la sacristie. Artamos l'ouvre et entre, elle ne semblait pas fermé, je referme la porte derriere nous puis me tourne sur Artamos.
Je le regarde à nouveau, toujours inquiete Il avance dans l'eglise en direction de la nef, pour se diriger vers une porte un peu en dessous du niveau du sol, aprés deux marches. Artamos ouvre la porte donnant sur un escalier descendant. Je le regarde ne sachant encore une fois que faire et ne bouge pas, attendant une réaction. Il me jette un regard comme pour s'assurer que je le suit bien puis s'engage dans l'escalier. Je m'engage donc dans celui-ci à sa suite, refermant la porte derrière moi.
L'escalier est quasiment plongé dans le noir, seule une torche l'eclair très faiblement venant du bas de l'escalier. Je rejoins Artamos prudement dans cette pénombre comptant les marches.... Il arrive en bas et je le rejoint. Nous arrivons dans une sorte de couloir... de chaque coté, sont disposées, sur les murs, des dalles où son gravé les noms et dates de naissances de naissances et de descès des hommes de foies qui ont vécus ici dans le passé...J'a ideja connu mon cerceuil... ce n'est pas celui d'un autre qui va me traumatiser, ni le fait d'évoluer au milieu de tombe... J'ai vu pire...
Artamos prend la torche et l'avance devant lui pour avancé dans le couloir
Je le suit toute proche, nous arrivons devant une lourde porte en bois. Artamos la pousse d'une main et repositionne la torche dans le mur. Je m'immobilise a un pas en arriere de lui et attend sans bouger le regardant ouvrire la porte. Il entre dans un sorte de hall comme un petit salon, j'y pénètre a sa suite. Le sol du hall est couvert de moquette, de la lumiére au plafond, des petit chevets autour de la porte et un porte manteau, une porte sur chaque autre mur. Artamos entre et retire son manteau. La lumiére du plafond à un fils, je le suit du regard et note qu'il va ensuite derréire la porte de devant. Artamos se dirige vers la porte de droite et l'ouvre. Je m'avance un peu dans le hall après avoir fermé la porte d'entrée. Je ne bouge pas le regardant. Il entre dans une chambre spacieuse, un haut lit avec des pilliers et de grands rideaux à l'ancienne : de lourde tenture de lin, une grosse comode est en face, un secretaire sur le coté et une grosse armoire de l'autre. Les murs sont ornées de tapisseries qui semble assez anciennes sont disposées.
Je le regarde évoluer, toujours inquiète... me demande s'il s'est nourrit cette nuit avec tout ca ... meme si il n'a pas l'air d'en avoir vraiment besoin mais avec le coup du jour... et l'impact du soleil ...
Voila
Je lui sourit en le regardant toujours immobile masquant mon inquiètude.
je sais c'est plutot austére comme chambre de nos jours, mais elle est confortable
Je depasse le katana de ma ceinture, m'approchant de la chambre et m'arretant sur le seuil. Je sourit... si il savait à quel point je préfère ce décor a celui de son apartement de la tour...
Je prefere cela... a quelques chose de moderne...
Alors que je m'arrête sur le seuil j'apercois aussi quelques décorations notemment un bouclier accroché avec deux épées croisées. Il s'arrete devant le lit, se retourne sur moi et me sourit. Je m'avance et m'arrete, dans l'encadrement de la porte le regardant hésitante n'osant pas avancer atendant son accord.
veu-tu visiter le reste maintenant? me demande t'il en me souriant.
Je lui répond non de la tête.
Je me demandais si j'avais ...
si tu avais? avec un regard interrogateur
Ton autorisation pour te rejoindre... un sourire timide aux levres
mais c'est ici ta chambre...du moins si tu le veux bien me remond t'il souriant, j'entre et pose le katana sur la commode puis je me rapproche ... et m'arrete à un pas de lui...
Oui je le veux...
Il me sourit et s'approche de moi, il lève la main et la pose sur ma joue. Je ferme les yeux heureuse de ce contact et penche la tete comme pour mieu le savourer. Je sent sont regard sur moi un instant. Il approche ses lévres des miennes , mais reste à quelque centimétres juste en face... Je sent son soufle sur mon visage taquinant ma peau, mes lèvres. J'avance mon visage et viens froler ses lèvres doucement. Ses lèvres se collent aux miennes plus fortement contre les miennes. Je passe mes mains sur sa nuque répondant avidement à son baiser. Je sent un léger gout de sang dans ma bouche, mais n'y prète aucune importance et continue de l'embrasser. Il me répond tendrement en m'enlaceant contre lui.. Artamos se recule un peu me souriant tandis que j'ouvre les yeux, il se regarde puis léve à nouveau les yeux vers moi
Qui a t'il ?
excuse moi...
Il s'écarte de mes bras. Je le regarde s'éloigner, me sentant ... bandonnée... Il me sourit
je reviens vite
J'aquiesce muette. Il passe a coté de moi, tout en restant toujours tourné vers moi pui sort.
installe toi je reviens vite
Je le suis du regard il prend la porte en face de celle de l'entrée rapidement. Je m'etire doucement faisant jouer mes muscles endoloris et porte la main a sa machoire. Maintenant que je me sent hors de danger... qu'il ne risque plus rien mon corps se rappel a moi. Je m'assied sur le bord du lit et regarde la chambre. Je fait glisser ses basquettes machinalement tout en me massant la machoire. Il cogne fort ces saletés...
Artamos revient après quelques minutes... je remarque qu'il a pris un peu de couleur, il s'est séparé de ses vétements sombre pour revenir en pantalon, sans son épée et en chemise bordeaux. Je le regarde entrer enlevant immédiatement ma main de ma machoire et la posant sur le lit. Il me sourit. Je lui rend son sourire.
comment va-tu? me demande t'il en s'approchant de moi
Bien je lui répond en souriant, le regardant approcher. Et se mettre face à moi.
je voulais dire, pas trop d'émotion en meme temps ces dernier jours...
Et bien... j'aime ces bouffées d'adrénaline... Même si cela me terrifie parfois...Et puis ... Je me tait hésitante. Artamos se penche en avant pour figer son visage a quelques centimètres du mien.
et puis?
Tu es la... Je baisse la tete sur mes genoux sentant mon visage s'empourprer.
Je te protégerais du mieux que je le peux...
Artamos ...Certes ... tout cela m'a chamboulé... lui dis je a voix basse mais douce
Artamos reléve un peu le visage me lanceant un regard interrogateur.
Mais j'ai gagné plus que tu ne peu le croire
Il me sourit tandis que j'ose enfin le redresser mon visage et le regarder à nouveau. Je lui rend son sourire timidement Je doit vraiment avoir l'air maline... Pas douée, minable et et pitoyable.
Artamos aproche a nouveau son visage, très proche du mien... Il me fait un grand sourire comme pour répondre à mes pensées. Il aproche encore et cherche mes lévres. Je repond avec ferveur a son baiser. Je me recul doucement et le regarde.
Il se raproche encore de moi, augmentant la pression de ses lévres contre les miennes et s'avanceant pour me faire reculer. Il me sourit et me suit sur le lit. Je lui sourit reculant sous ses baisers.
Artamos s'avance toujours et cherchant a ne pas séparer ses lèvres des miennes s'avance et s'allonge au dessus de moi, ses coudes de chaque coté de moi pour ne pas m'écraser. Je mordille ses levres m'allonge et l'enlace tendrement. Mes mains carresses doucement son dos puis repasse sur son torse venant défaire doucement les boutons de sa chemise...
Et si nous pensions a rechauffer votre corp prince ?
Artamos m'embrasse a nouveau je sent plus encore le gout du sang dans sa bouche... mais tiéde, non repoussant... Il me sourit en se relevant pour m'aider a lui ouvrir sa chemise et d'une main oter mon haut. Je lui sourit.
et bien... que proposez vous?
Me dit 'il d'une voix taquine, me souriant. Je cherche ses lèvres et m'arrete a quelques centimetres.
Tout depend si je suis a votre gout ou non... avant de poser mes lèvres sur les siennes. Artamos répond tendrement a mon baiser, posant son autre mains sur ma joue. Il reléve doucement le visage et me regarde un sourire triste. Je carresse son dos tendrement d'une main le regadant.
je... ne avant que je ne le fasse taire en posant mes doigts sur ses lèvres. Il me sourit.

Comment exprimer .... comment expliquer ce que je pense et ressent ? Comment faire taire toute ces question que sa simple présence éveil en moi ? Comment expliquer ce que j'eprouve ?
Il n'y a pas de mots pour exprimer certains faits tout comme certains sentiments. Que dire ? Si ce n'est que j'aprécie d'être a ses cotés... que pour mon prince je donnerais tout... Rien que pour ces quelques instants qu'il m'a fait vivre... ou je me suis enfin éveillée à la vie...
J'aime sa douceur, ce désir intense et brulant qu'il éveil en moi... J'aime ses regards ... même si je déteste savoir qu'il peu alors tout savoir de moi... de savoir qu'il peut tout savoir de ce que je pensei...de savoir qu'il peut a tout instant me maitriser et maitriser mon corp comme il l'a fait pour que je sorte la lame de mon katana...
J'aime être dans ses bras... ces instants où rien d'autre que lui n'existe... où tout entière je lui appartien... cela de mon plein gré... oui... certains pourront trouver ca bizarre et me dire que je n'agit pas réellement de mon plein gré... mais cela est faux... J'aime ses carresses, sa douceur... j'aime sentir ses lèvres froler ma peau, ses canines venir glisser le long de mon cou et doucement s'enfoncer dans la chaire de ma gorge... Exprimer les déferlentes qui s'emparent de vous a de tels instant est impossible... il faut avoir la chance de le vivre.

J'emmerge doucement du sommeil, la faim me tiraillant l'estomac quand je sent deux bras passer autour de moi, m'attirer et me serrer tendrement. J'entrouvre les pâupières et regarde Artamos avec un tendre sourire, le regard encore embué de sommeil puis je me me blotti dans ses bras.Il ne semble pas avoir bougé depuis que j'ai sombré dans le sommeil... il est toujours allongé sur le dos m'enlaceant tendrement, il avance son visage pour m'embrasser tendrement... gardant un bras autour de mon épaule l'autre allant le long de mon ventre. Je lui souri. Ce que j'aime me réveiller ainsi...Je suis bien... heureuse pendant ce temps de répis...
bonjour... bien reposée ? me demande t'il me souriant
J' aquiesce d'un leger signe de tete
désolé de ne te réveiller que maintenant, tu étais si bien endormie...
Je l'interroge du regard.
Combien de temps ?
Il tourne la téte a coté du lit et montre un tabouret avec un plateau et une cloche couvrant une assiéte tout en me répondant.
36h environ
Je grimace... il me traite tel une enfant ... et puis... me laisser dorir si longtemps... le sommeil est une perte de temps...
Aussi longtemps ?
Il me sourit tandis que j'esquisse une moue
j'ai fais l'erreur de te ... me nourir deux soirs d'affilés, tu n'étais pas encore remise totalement. Tu dois reprendre des forces et laisser ton organisme se reconstituer
Il me dit cela d''une voix douce. Cela m'éxaspère... Je déteste... je ne suis pas une enfant qu'on réprimande ou qu'on oblige a faire ce que l'ont veux...Je me tais me murant dans mon silence
Artamos rie en voyant ma mine
et bien ne t'inquiéte pas, tu semble étre déja bien remise
Je m'ecarte un peu de lui il ouvre doucement ses bras pour me laisser m'eloigner. Une fois hors de ses bras je m'etire doucement
Tu a juste besoin que ton sang se reconstitue...
Je le regarde puis tourne mon regard sur l'assiette... mon ventre crie toujours famine.
Enplus tu a bougé... dis ja a voix basse en regardant le plateau.
Artamos me sourit
tu a dormis 36h, je voulais que tu es de quoi te restaurer a ton réveille
Artamos se redresse doucement pour se penché sur le coté du lit, il prend le plateau et le ramene sur le lit. Il le pose sur ses jambes une fois redressé et adossé contre les oreillers et me regarde. Je le regarde faire la mine toujours boudeuse. Je me rapproche tout doucement de lui tandis qu'il ouvre la cloche. Un verre retourné s'y trouve ainsi qu'une petite carafe d'eau, une autre de jus d'orange, une assiete rempli de croissant, pains au chocolat, pains raisin, ... du café dans une tasse et du thé dans une autre, sur le coté une coupe en argent remplie semble-t-il de sang. Pas pour moi ca...Il pose la grande cloche sur le tabouret, il me semble un instant que son bras s'est allongé... simple effet d'obtique, mouvement trop rapide pour mon simple oeil humain... Artamos se tourne vers moi et me regarde
toujours boudeuse ou consentira-tu a mangé pour reprendre des couleur et des force?
Le teint blanc ne me va pas ?
Il rie... Je le regarde faire... il m'exaspere à me traiter comme une enfant rebelle... qu'elle que soit son age... enfin ... quel que soit le temps qu'il a passé sur terre... je ne suis pas une enfant !!! Je lui replique ma voix toujours basse et froide
Tu sais le fond de teint existe je peu remedier a ca ....
Il me regarde souriant en calmant son rire, je me taie reportant mon regard sur le plateau, prenant soin de ne pas le regarder ... j'opte pour les pains au chocolat et un café...
quelle que soit ta couleur de peau elle me va... mais pour le moment je la préfére pleine de vie...
Je me tait et mange, préfèrant ne pas m'engager sur ce terrain... qu'entend t'il donc par la ?... Je fronce les sourcils obeissante... Je vais jouer au gentil petit soldat. Artamos me regarde et prend son verre de sang puis le vide d'une traite. Il me regarde ensuite simplement, un sourire en coin. Je repose la tasse vide puis prend un verre de jus d'orange, ma faim s'appaisant...
Ca va mieu ?
Je leve mon regard sur lui, il esquisse un large sourire. Je boude toujours en buvant mon verre et en le regardant par dessus. J'aime le voir sourire comme ca et mes yeux lui sourit quand meme... attendrie malgré moi... je serais totalement incapable de lui en vouloir très longtemps.. je me ressaisit. Il me regarde plutot intrigué pendant que je boie. Je repose le verre et regarde Artamos. Et lui répond ironiquement et à voix basse et sourde :
Non je suis encore tres tres tres faible...
Il me sourit tendrement, puis jette un regard sur mes verres vides... presque avidemment.Il tourne les yeux vers les miens à nouveau.
Et bien, il va me falloir prendre soin de mon invité donc... d'un ton ironique commencons doucement en se penchant pour me voler un baiser en frolant mes lèvres des siennes.
Difficilement , je resiste a l'appel de ses levres refusant de ceder, je reussi l'impossible et y arrive. Je le regarde toujours boudeuse... Il sourit de m'avoir volé un baiser. Il regarde le plateau puis replonge son regard dans le mien.
c'était bon?
J'aquiesce d'un signe de tete toujours muette, comme le premier soir ... dans la voiture et l'apart enfait. Je m'ecarte et descend du lit
ca... ca avait... il semble hésiter, son regard se fixe sur mes lèvres
Il reléve le regard.
non rien
Il reprend le plateau, je le regarde le couvrir et se lever a son tour. Je penche la tete sur le coté l'interrogeant du regard. Il me regarde, je tire a moi une couverture et m'enroule dedans.Il éclate d'un rire retenue. Je fronce les sourcils...
et bien? qui a-t-il? je faiis une telle téte que sa?
Pourquoi tu ris ?
Je le regarde esquissant un leger sourire
ton regard, ta facon de m'observer, ta mine interrogatrice, on dirait une jeune enfant avide de comprendre...
Je me retourne franchement boudeuse
Mais je t'aime beaucoup ainsi
J'avais bien cette impression depuis mon reveil, il ne fait que confirmer mes impressions...une enfant...
et bien plus encore dit il en marmonant dans sa barbe. Je ne lui mopntre pas que je l'ai entendu, même si ses dernieres paroles ont un impact terrible en moi me bouleversant terriblement.
Artamos fait le tour du lit pour me rejoindre de l'autre coté et pose le plateau en chemin. Il s'arrete à côé de moi et se tourne face au mur en boudeant. Je me tourne a nouveau lui tournant le dos . Je sent sa main se poser sur mon épaule. Il avance son visage et pose son menton sur mon épaule. Je me mord les lèvres... ne pas ceder a cette vague qui me saisit a nouveau... cette vague de tendresse qui me pousse à le prendre dans mes bras.. à le couvrir de baiser ... à...
et bien jeune femme, me bouderiez vous? a voix basse dans le creux de mon oreille
Pas du tout ...
Artamos penche un peu la téte et s'avance pour passé un bras autour de mon ventre... ma peau frissone doucement sous la couverture... Il tourne la téte vers me joue fermant a demi les yeux, comme respirant monodeur... Je résiste resiste un peu puis me laisse aller contre lui... incapable de lui en vouloir, tellement bien avec lui... et envahis par tellement de doutes...
Je... je ne veux pas n'etre qu'une enfant a tes yeux... même si cela est dans un certain sens le cas...
Il passe son autre bras autour de mon ventre et se colle contre mon dos, il rie doucement
tu ne l'ai pas... je voie en toi une femme...mature, pleine de vie, inteligente, saine de corps et d'esprit...
Je rit doucement
- Artamos...
Je voie en toi quelqu'un de bien plus qu'une humaine
Je m'arrete de rire et me tourne face a lui restant dans ses bras
je vais t'avouer un secret. Certains s'en doutent ou le savent déja. De ma race je parle. Mais a mon age, plutot a mon niveau d'existence, je ne vie plus de ...chaire... humaine, il me faut bien plus...mais je goute aujourd'hui encore a cela... par plaisir, par gout, par envie et désir...
Je me blotti contre lui, il me sert dans ses bras contre son torse.
Pourquoi me fait tu confiance ? Tu ne me connais pas mon prince ...
Artamos recule la téte pour plonger son regard dans le mien, souriant du coin des lévres
je suis désolé, je te demande de me pardonner...mais j'ai vu en toi comme je te voie maintenant. je te connais mieux que tu ne le pense
Je le regarde et lui sourit. Je sais que tu voie en moi... que tu l'a deja fait et que tu recommencera....Je passe doucement ma main sur sa joue. Il me regarde me souriant tendrement
et malgré la ... non-existence de sentiments... je suis sur d'une chose... jai encore des souvenir malgré moi de ceux-ci, et je suis certain, que tu est une femme, que j'ai longtemp attendue...cela peu te paraitre... grossier, futil, voir inadequate...
Je le regarde ... tu croi que je ne t'ai pas entendu tout a l'heure ? je boudais mais j'ecoutais mon prince
Je lui sourit et pose ma main sur ses levres. Son sourir s'élargit sus mes doigts.
Tu es la... je suis la avec toi... c'est tout ce qui m'importe
Artamos avance son visage le gardant a quelque centimètre du mien.
montre moi... je t'en suplie... aprend moi...
Je souris et enleve ma main. Je l'enlace tendrement
... ce qu'est l'amour d'une voix comme un souffle ses lévres effleurant les miennes.
Si tu savais a quel point je t'aime deja...Je m'écarte un peu
Y aurait il moyen que je prenne un petit bain ?
Il réouvre les yeux. Les gardant mi-clos et me regarde tendrement. Son sourire s'agrandit, comme pret a rire doucement.
bien sur, je te montre

Je prend sa main, Artamos se recule doucement jusqu'à la porte
Tu me guide ?
Je ferme les yeux, il sourit. Artamos se tourne et ouvre la porte et passe mes mains sur sa taille. Je sourit. Artamos avance doucement puis enléve mes mains de sa taille pour venir derrière moi, fermer la porte puis poser ses mains sur les miennes.
Artamos pose ses mains maintenant sur ma taille et me fais avancer... Je me laisse faire confiante. Il me fais enfin tourner a gauche, donc la porte en face a la porte d'entrée. Il avance une main ouvre une porte te fais entré refermeet te fais ensuite avancé, suivre le tour de la salle, entré dans une porte ensuite a droite, il avance vers le centre et me relache. Il fais le tour de la salle, j'entend ses pas aller devant moi tourner un robinet ...Je l'entend se retourner vers moi et s'arreter. J'ouvre enfin les yeux desorientée d'avoir perdu son contact, il est en face de moi me souriant. Je le regarde et lui sourit. Il se tourne vers moi et s'avance pour me prendre dans ses bras.je m'y blotti a nouveau
Est ce que tu sai a quel point je m'y sent bien ?
Mon regard parcourt rapidement la salle de bain. Elle est assez rustique mais bien équipée... , une grande baignoire non pas a l'ancienne mais neuve et tres spacieuse, les robinets au tuyaux entre dans le mur a coté de la baignoire, le mur est carelé, de chaque coté se trouve une étagére, et a coté de la porte une armoire.
Artamos me sourit,
je le sens... mais c'est aussi surment le faite que moi aussi je me sente bien avec toi que je sens...
Que tu sens ? dis je revenant sur tes derniers mots
la chaleur que tu m'apporte... dans mon corps froid
Je m'ecarte un peu et le regarde. Artamos reste debout a me regarder aussi
Je suis un merveilleux petit radiateur me retenant de rire on ne m'avait jamais fait ce compliment
Artamos s'écarte sur le coté et tourne la téte vers le bain se remplissant... fumant doucement. Il tourne ensuite le regard vers moi.
en effet... c'est bien toi qui doit arriver a me réchauffer ainsi
Je le regarde le regard pétillant ; il s'avance et pose les mains sur mes épaules et fais glisser les draps dans lesquels je m'étais enroulée. Je frissone légèrement et cherche son regard. Artamos tourne le regard d'abord sur mes épaules, baissant les yeux sur ton corps... puis reléve la téte pour planter son regard dans le tien. Je rougit sous son regard. Artamos sourit du coin des lèvres et avance pour m'embrasser.
Je repond a son baiser, tendrement et avec une passion nouvelle pour moi ... Artamos passe ses bras autour de moi, l'un autour de mes épaule l'autre autour de ma taille et mattire contre lui. Il me fais tourner autour de lui doucement tout en m'embrassant tendrement. Artamos s'avance ensuite, d'un pas lent vers la baignoire m'obligeant a me reculer vers elle... Il recule le visage...et me sourit. Je lui sourie aussi. J'ose esperer qu'ilaime les bains. Il penche la téte sur le coté, regardant l'eau fumante derriére moi. Je tourne la tete regardant l'eau , par dessus mon epaule, suivant ton regard. Je tourne a nouveau mon regard sur lui et le contemple muette. Artamos fronce les sourcils, pince les lévres et inspire comme s'il avait mal à l'avance pour quelqu'un.
et bien...Je pense que le bain est chaud
Tu veu m'ebouillanter ?
Artamos se penche légérement sur le coté , contre moi, courbant mon corps contre le sien, pour tourner le robinet d'eau chaude et l'éteindre puis ouvrir celui d'eau froide. Artamos rie doucement
Je veu bien que tu veuille que je prenne des couleurs.... mais la...
mince tu a découver mon secret pour devenir chaud...
Je le regarde et me rapproche encore de lui. Son rire se calme et il plonge a nouveau son regard dans le mien. Je m'arrete la mine a nouveau boudeuse. Il esquisse un sourire du coin i des lèves et me regarde interrogateur
qu'y a-t-il? penchant la téte sur le coté intrigué
Alors ... tu veux m'ebouillanter et ce n'est pas moi qui te rechauffe... mais l'eau d'un court bouillon d'ecrevisse ?
Je lui tire la langue mutine. Artamos explose de rire. Il s'aproche de moi et m'enlace presque si rapidement qu'il manque tomber en avant avec moidans le bain...
Je sourit et cherche ses levres pour les mordiller. Il rie encore plus doucement en se redressant pour ne pas tomber. Je m'ecarte un peu et le regarde heureuse de le voir rire. .
allez... vas-tu le prendre ce bain avant qu'il ne refroidisse? me dit il riant encore.
J'aquiesce d'un signe de tete.
Artamos se penche sur mon coté pour éteindre l'eau froide refroidissant le bain et se redresse. J' hesite et le regarde.
veux-tu que je reste cette fois aussi? me regardant taquin
Un grand sourire nait sur mon visage tandis que je rougit légèrement sous son regard.
Si j'osai je te l'ordonnerai...
c'est pourquoi je te le demande réplique t'il s'avanceant vers moi.
Reste... s'il te plait... si tu en a envie... je baisse la tête, ma voix n'est qu'un murmure
Il retire son pantalon, puisqu'il etait deja torse nue, vue qu'il ne s'était pas rhabillé. Il sourit en se redressant.
si je te le propose, n'était-ce pas la une marque de mon envie de resté avec toi?
Il se tourne vers l'armoire et l'ouvre, je releve la tete et le regarde. Je tourne mon regard sur le bain, j'esquisse une moue de reprobatio puis tourne mon regard sur Artamos. L'armoire est emplie de bandages, médicaments, seringues et autres éléments pharmaceutiques sur l'étagére du haut, en dessous je vois des serviette de bain, il en prend quelques unes.
Et les bulles ?
Artamos se tourne ensuite vers les étagére a gauche ou sont les savons et autres produits pour le bain, ainsi qu'un canard jaune. Je reprend mon serieux en le voyant faire.
Tu y tien a ton canard jaune ?
Artamos pose les serviettes a coté de la baignoire et prend des savon et une bouteille de bain moussant et du sel de bain... Artamos prend le canard et le regarde fixement pendant un instant en souriant.
il y a des choses comme ceci que j'ai avec moi, ce sont la des objets que j'aurais adoré avoir il y a longtemp .
Je souris et me rapproche de lui.

Passage rapide.

Entre linceul... drap et serviette... a croire que j'aurai fait un modele grec parfait niveau drapage
Artamos me frictionne doucement les épaules pour m'essuyer et me réchauffer. Il me regarde tendrement et me jette un regard malicieux
mais je préfére surment sans...
Je souris regardant les gouttes d'eau sur sa peau, disparaissant déja. Elle est bien humaide, mais il ne semble pas frisonner. Il prend un peignoir et me le passe... Il me regarde, et fais glisser ses lévres contre les miennes...Je frissone a nouveau mais pas de froid... Il m'enlace ses bras autour de mes épaules et recul son visage
et bien? si froid que sa? je vais devoir te ramené sous les draps pour t'y réchauffer...
Je fait un petit oui de la tete lui souriant malicieuse. Artamos me sert dans ses bras puis se recul doucement pour fermer mon peignoir un instant.
Il se baisse ensuite pour me faire basculer puis me soulever dans ses bras. Je rit doucement me laissant aller contre son torse. Je rie doucement
Artamos me soulève sans mal et se tourne la regardant se vider, regardant un instant le canard tourner dans l'eau. Il se dirige ensuite vers la porte. Il l'ouvre, elle donne sur une pièce, un salon assez bien arangé, table basse, canapé, fauteuils, une télévision avec un cable montant sur le plafon et disparaissan dans un trou, tapis, tapisserie assé ancienne par contre, lumiére au mur et au plafon. Artamos fait le tour de la piéce pour sortir per la porte a gauche et revenir dans le hall puis vas dans la chambre. Il y entre et me dépose sur le lit, je lui souris, Il retire ses bras sous mon corps une fois qu'il m'a posé sur le lit gardant son regard plonger dans le mien. Il se recul. Je sourit et le regarde toujours
Artamos reste un instant debout a coté du lit a me reggarder, puis se penche en avant s'avance au dessus de moi, je recul, il me suits a quatre patte au dessus de moi. Je leve une main pour venir carresser son visage puis la fait redescendre le long de son cou puis de son torse doucement le frolant juste, l'effleurant a peine... Jouant sur sa peau...Artamos semble un instant sous ma main frissoner... mais ne scsse pas d'avancer vers moi. Il arive enfin le visage face au mien a quelques centimétre qu'il comble sans hésiter... Ses lèvres viennes froler les miennes, tandis qu'il m'enlace ... Je l'enlace a mon tour mon corp venant épouser le sien et repond avidemment a la pression de ses levres et laisse echapper
un gemissemnt de desir et de bien etre. Il recul doucement son visage
et ouvre les yeux pour les plonger dans les miens. Je laisse mon regard deriver dans le sien, il léve une main pour la poser sur ma joue.Je sourit et ferme brievement mes paupiere savourant sa carresse sur mon visage. Il s'avance venant a nouveau m'embrasser.Je sourit et deux mains pose se sur son dos comme pour mieu de ramener a moi. Sa main caresse doucement ma joue, Il releve la tete et me sourit tendrement. Je lui rend sn sourir.
Ca va déja mieu? a voix basse comme pour ne pas troubler le silence taquin et intense...
Un peu...
Artamos sourit et me réembrasse a nouveau. Je repond avec ardeur a son baiser. Il se laisse glisser a mon coté... J'ote le plaignoire et me glisse sous les draps a coté de lui, me blotissant contre lui, la fatigue me tiraillant soudain a nouveau. Il passe un bras autour de mes épaules. Je sourit et pose ma tete sur son épaule fermant les yeux, fatiguée mais heureuse... Il pose sa joue contre mon front...
Bonne nuit ma douce ange
Bonne nuit mon prince...
Je me sent glisser dans le sommeil, tandis que son corp se refroidit contre le mien, son torse cesse de se soulever , sa respiration s'eteignant tout comme les battements de son coeur.

Je suis éveillée par Artamos qui me secoue doucement en se replaçant dans le lit pour se tourner doucement vers moi. Il dépose un doux baiser sur mon front. Je lui sourit les yeux toujours clos. Artamos reste tourné vers moi, ton visage contre mon épaule, il viens caresser mes cheveux doucement d'une main.
tu es réveillé... sa voix est douce et basse comme s'il se parlait a lui meme à sa manière de le dire.
J'entrouvre les yeux
Et oui ...Je pensai que tu l'avais senti
tu ne réve pas... il est plus facile de sentir quel'qun qui sort d'un réve, que quelq'un qui aten son réveille patiement...
Il me sourit, je lui sourit a mon tour. Je leve la main et carresse sa joue.
bien reposé?
Comment pourrai t'il en être autrement dans tes bras ?
Je lui rempond en lui souriant. Il sourit et avance pour froller mes lévres des siennes. J'accentue la pression de ses levres sur les miennes. Artamos passe un bras autour de mes épaules et me sert contre lui. Je le laisse me ramener contre lui. Artamos plonge son regard dans le mien. Je le regarde captivé pas son regard et lui sourit.
et bien... je pense qu'il serai temps non de nous lever ?
Je me degage donc de tes bras et se laisse rouler sur le coté, Je m'extirpe des draps et sort du lit tout en me demandant ce que je pourrai mettre. Artamos me regarde un moment puis se léve a son tour. Je m'assied sur le bord du lit.
tu trouvera dans l'armoire des vétement qui te conviendrons, comme a mon apartement, j'ai des vétements neuf constement un peu partout... surement une sorte de fobie du manque me dit il en riant.
Je me laisse ensuite retomber sur le lit et me reglisse sous les draps
Artamos me regarde avec un grand sourir, il se rassoie sur le lit. Je lui sourit. Artamos passe un bras sur mon bassin par dessus les draps. Il se tourne et s'alonge a mes coté Je m'approche et l'embrasse tendrement. Artamos répond aussi tendrement a ce baiser
Ou m'emmene tu ?
nous avons a retrouvé une certaine ville...je me doit auprès de mes vassaux
Artamos me regarde souriant. J'aquiece
Je m'habille comment ?
comme tu le souhaite, dehors il fais nuit, je compte allé voir mes hommes, et surtout faire une mise au point sur ce qui est désormais...et qui a osé s'en prendre ainsi a moi
Une petite flamme commence a brillé dans les yeux d'Artamos. Je le regarde et opte pour un pantalon basket tshirt et pull. Je me glisse hors de ses bras et hors du lit puis m'habille... Artamos se redresse et me regarde un instant puis sort de la chambre en disant
je reviens je vais dans la piéce du fond
Je ne lui répond pas et tresse rapidement mes cheveux et les attache. Je me glisse ensuite le katana a ma ceinture et repasse le traine pousiere par dessus. Je passe ma main sur ma nuque et sort la longue natte de sous le manteau et la laisse retomber sur son dos. Je referme ensuite le traine poussiere. Artamos reviens peu de temps aprés déja habillé d'un pantalon, chemise, chaussure de ville. Il est aussi équipé de son épée, il me regarde souriant.
veux-tu manger tout de meme avant?
Rapidement si tu veux bien
viens on va trouvé largement de quoi faire je pense
Artamos me sourit et se retourne puis sort de la chambre. Il se dirige vers la porte face a celle d'entrée.J e le suis et le regarde a un pas derriere lui. Nous entron dans le salon, puis nous dirigeons vers la porte de gauche. Il ouvre la porte et entre dans une pseudo cuisine: armoire et étagére, cuisiniére assé vielle de quelque année maintenant, four, micro onde, grand frigo avec porte de congélateur dessous un deuxieme plus petit frigo sur le coté. Je le regarde faire m'arretant, je me raproche de lui. Artamos se tourne vers moi.
et bien.. qu'aimerais-tu manger?
Simplement café et pain au chocolat... je mangerai plus consistant plus tard
sur ? tu ne veux pas plus? souriant tendrement
Il se dirige vers l'armoire l'ouvre sur un garde-manger moyennement rempli, et en sorte du café. Je sourit, Artamos prend une casserole et la rempli au robinet , puis fait chauffer l'eau.
Non je ne veu rien de plus. Et puis... nous avons a faire
Artamos se tourne vers l'étagère et prend un sac en paier de croissant et pain au chocolat
mais je préfére quand meme te savoir en forme... me souriant
J'esquisse un sourir en me disant je suis en forme mon prince et tu le sai ... Artamos pose le paquet sur la table de cuisine et t'invite en te montrant la chaise. Je sourit et tend la main vers le sac, il se retourne vers l'eau qui commence a bouillir. Je prend un pain au chocolat avec gourmandise tandis qu'il éteint l'eau et me fais mon café. Je prend un second pain au chocolat avec le café ... gourmandise quand tu nous tien...Il rempli un bol et me le tend, regardant presque avidement les croissant et le café
lait? sucre? miel? caramel ?
Sucre s'il te plait
Je le prend de ma main libre
Merci
Je lui sourit, Artamos se tourne pour me tendre une pleine boite de sucre, je glisse le pain au chocolat entre mes dents liberant une main et met deux sucre dans le bol de café et le boit ensuite et mange rapidement. Artamos me regarde manger, adossé contre l'amoire en souriant. Je m'approche ensuite de l'evier et lave le bol et mes mains plaines de miettes, je les essui et te regarde prete a partir. Il me regarde et demande d'une voix hésitante
c'est... bon?
Oui mon prince...
Artamos rie
Mais...
Je le regarde sérieuse, il se calme et me regarde
mais?
Le fait que je t'accompagne est il judicieux...
Artamos reprend un visage plus sérieu
Il n'y a pas tres longtemps... je devais vous servir ...
en effet, j'ai aussi avisé la question et je pense plutot que je devrais non pas t'éloigner de moi... mais de mes contacts et j'ai de toute facon besoin de ton aide... si tu le veux toujours
Donc que je reste dans l'ombre comme une sage petite poupée ...
Artamos rie doucement
non certainement pas, si je voulais cela de toi, je t'aurais demandé si tu voulais un tatouage en signe de protection
Tu sai que je veux t'aider... Et j'agirai comme tu l'entend
je veux justement que tu prennes tes décisions car la ou j'ai besoin de toi, je ne puis t'aider
Artamos...
c'est auprés des contacte... humains je ne puis te suivre la
Je le sai...M'a decision est prise et je t'aiderai
merci
Et tu sai toi même que je ne suis pas une simple petite chose fragile...
oui je le sais bien souriant du coin des lévres
Allons y... si tu veux bien que je t'accompagne sinon je resterai ici
bien sur, excuse moi
Artamos se raproche de moi et passe une main sur ma joue et approche son visage du mien, je repond a son baiser. Puis recul le regardant.
fais attention a toi
Artamos prend une de mes mains et se dirige hors de la cuisine puis hors du salon, je le suit. Il reprend son manteau long acroché au porte manteau non loin de la porte d'entrée . Nous sortons et après avoir fermé la porte. Artamos continue, nous reprenons le couloir et nous dirigeons vers l'escalier au bou puis remonte dans le saint-cristi. Je garde ma main dans la sienne remontant le col du manteau et le suivant..Nous sortons de l'église, la fraicheur de la nuit éveille bien mes sens, il fais encore bon surement peu de temp qu'il fais nuit , très loin a l'horizon de très faible lueur rose orangées sont encore visibles. Je sourit regardant le ciel tout en me rendant a coté de la voiture ma main toujours dans celle de mon prince. Artamos va a la voiture et l'ouvre a distance avec le "bip bip". Je lache sa main souriant a la penser de retrouver mon arbalette. Artamos s'installe place conducteur. Je monte côté passager.Tu sais que ce katana coupe tres bien lui dis je en repensant a la maniere dont la tete du vampire a volée...
oui je le sais... mais il t'apartien désormais...
A croire que tu le savait en me le confiant la veille...
Artamos démarre et reprend la route de la capitale luxembourgeoise a une dizaine de minute
je ne voulais pas te laissé les mains vide en sachant que tu était si proche de moi...
Si proche de toi ? un dejeuner... repensant aux paroles de la femme
Je sourit tistement et me tourne sur la vitre. Il me sourit tristement. Je le regarde et lui sourit mutine... autant qu'il ne sache pas combien cela m'a blessé.
Tu sais... quand elle a dit ca... Je n'avais qu une chose en tete...
non plutot en sachant les risque que m'entour, tu en avait autant a rester aussi prés de moi, mais tu en est consciente maintenant avec les beaux avant gout que tu a eu...
Il me regarde
oui ? quoi donc ?
La tuer...
ne t'en veu pas...
Je detourne mon visage et regarde a nouveau par la vitre
Je ne m'en veux nullement... c'est cela le pire
tu a eu bien plus que raison, et elle ne t'aurais pas loupé si tu lui en avait laissé l'occasion, alors di-toi que serait il arrivé sinon... tu ne serai plus parmis nous je pense.
Je sai... en plus elle avait faim... ce qui est bizarre... c'est qu'elle n'est même pas senti que je n'etait pas...morte
une odeur tout autre emplissait l'apartement
Artamos me sourie tristement avant de reporter le regard vers la route, je ne dit rien meme si j'aimerai savoir de quoi il parle.
tu sais désormais le met qu'il me faut...
Je me tourne sur toi
Le sang ne suffit plus, ... et mon frigo est rempli lui d'un sang... bien plus pure...
Je ne vois pas pourquoi ... tu semble tan gené... du fait de te nourir d'eux...
je ne suis pas géné de le faire, je le suis aupré de toi uniquement
Artamos...Que serai je si je te jugeais ?
Artamos sourit sans répondre. Je le regarde " tu es ce que tu es et je ... t'aime ... ainsi", me taisant et tournant la tete sur le paysage
Artamos arrive enfin en ville

Nous arrivons devant la garre...Il arrete la voiture... Dejà... Mon coeur se sert une boule nait dans ma gorge... je ne pensau pas devoir le quitter si vite... Je le regarde... Il me regarde déja lui aussi...
ne voulais-tu pas retourné chez toi chercher des affaires que tu aurais besoin ? J'aurais aussi besoin de toi labas...
J'aquiesce une profonde tristesse comme la raison me font taire...
je voudrais que tu trouve la reine de Paris
Comment ?
Je le regarde incrédule...Je ne suis qu'un humaine...j'attend la suite
Guinevere de Pompadour
Artamos se tourne vers sa poche et en sort délicatement un parchemin roulé
tu devra d'abord te faire connaitre de sa cour
Quel sont ses membres principaux ?
je te conseil d'aller au chateau du louvre, méfi toi de son chérif
J'aquiesce
ses menbres... je ne peu te les nommer je ne connais pas bien sa cour, nous n'étions pas très amicaux par le passé
Que dois je y faire ? Lui dire ?
lui donnér ce rouleau
Je baisse le regard et regarde le rouleau, Il est fait pour contenir un parchemain et vu au bruit il semblerai qu'il y ai aussi un petit objet de dans le rouleau, il semble cartonné et cacheté
Tres bien ...
merci. Attention au acolytes et au menbres de basse-cour
A tu un conseil a me donner pour que je puisse m'introduire ?
cherche les hauts gradés dans les hierarchie humaine, essaye de trouvé les ... bétails
Hum...
humains marqué d'un tatouage sur la nuque
Oui ... ceux qui sont sous "protection"
Me souvenant qu'il m'a dit que s'etait pour cela que'il ne m'a pas tatoué...
veu-tu étre aussi marquée?
Non mon prince...Et puis...Qu'elle importance revetirai ta protection... la bas... tu l'a dit toi même vous ne vous entendiez pas...Ce serai peut être plus un handicap...
non ce n'ai pas pour cela, c'est ici a l'origine que je ne voulais pas...
Je le regarde
car cela réduit l'humain au niveau de ... bétail et tu en ai loin de la
Je lui sourit
je te ferai protégé dans mes mesure du possible, mais labas... tu sera sans protection de ma part
Je ne veu pas le quitter, j'ai l'impression de mourir ... en devant le faire Des larmes monte a mes yeux mais je me reprend
Artamos...
Lessa si tu ne veux pas je le comprendrais j'envérais quelqu'un d'autre
Si je suis arrivée ici... ce n'est pas un hasard. Et pour toi... Je donnerai tout
Je tend la main pour prendre le parchemin...Je n'ai ni papier... ni argent... et un katana... pratique pour voyager ... ni même les clef de chez moi...
bon, j'ai bien sur prévu quelque peu de l'aide
Artamos se penche derriére la voiture et prend un sac a dos ; il se redresse et me le tend. Je le le recupere l'interrogeant du regard.
tu trouvera du liquide, environ 200€ en petite coupure, un portable, et un peu de ration.
Je glisse le rouleau dans le sac a dos
Comment te contacter ?
quand tu reviendra a luxembourg, je saurais moi meme te contacté ne t'inquiéte pas
Je lui sourit
Alors... a bientot...
sinon tu peu m'apeler. Le portable, le PIN est celui d'origine, 0000, et un numéro est dedans. Utilise le en cas d'urgence pour me contacté ou si la reine a des problémes
Tres bien Mais... pourquoi la reine aurai des problemes...
Je me tait/ Il me sourit gèné
elle non c'est moi qui en ai, je doit reprendre contacte avec elle et sa cour
Tu aura ton contact... Je te le jure
ne le jure pas, car c'est tout de meme risqué, je ne veux pas non plus que tu prene trop de risque
Je le regarde, je tairai ce que je pense... pour lui je prendrais tout les risques... Je tend la main et la pose sur sa joue. Il sourit et s'aproche pour déposer un baiser sur mes lévres, auquel je repond avec tendresse... presque avec detresse.... Je recul et me detourne rapidement pour sortir de la voiture.
prend soin de toi et fais attention a toi
C'est pour toi que je m'inquiete. Car ... je pense que peu de personne save ce que je doit faire. Toi tu es entouré d'ennemis
pas uniquement, a tu oblié le seigneur qui vit en luxembourg?
Il me sourit, je fait de même.
Non...
et je te rappel que je suis le prince de la ville
Mais...
j'ai perdu une bataille seul, mais ils m'avait écarté de mes troupe...
Je me souvient aussi de ce qui s'est passé chez toi...
je saurais me débrouiller ne t'inquiète pas...
Je le regarde
prend plutot soin de toi
je m'inquietterai toujours pour toi... quelle que soit ta force
Il eclate de rire. je sourit de le voir rire
ne sous-estime pas ma puissance malgré les aparences
Je ne te sous estime pas...Tu le sai n'est ce pas ?
bien sur
Il me sourit, je me détourne... J'ouvre la porte et sort... Je me compose un visage pour pas qu'il voit ma détresse... Je me penche par la portiere ouverte et lui dit en un soufle, d'une voix très basse plus qu'un murmure.
Je vous aime mon prince...
Il est toujours penché sur mon siége et me sourit. Vite partir avant de s'ecrouler devant lui...Je referme la porte puis en me tourne pour s'eloigner. Je me retourne avant d'entrer dans la garre et regarde la voiture... J'entre ensuite dans la garre et regarde dans mon sac, j'y trouve déja 3 billets de train Lux-Paris, a plusieur horaire différend, dont le prochain et deux autres l'un était pour le train précédent, l'autre pour celui encore d'après... le train est dans environ 10min... Je rejoins donc les quaies rapidement. Le TGV semble se remplir, je trouve facilement ma place, étant le soir, peu de personne le remplissent. Je m'instal donc ... Me mord les lèvres... Je pense a mes animaux et a ma mission ... et puis obligatoirement et inévitablement a Artamos. Je me cale sur le siége tournant mon regard sur la vitre et me laisse aller à mon désarroi... Repensant a ces derniers jours... survolté... a ce que je ressent que je m'étais juré de ne plus ressentir... a Artamos...

Le train part... en 4h environ j'arrive a Paris gare du nord. Je suis incapable de trouver le sommeil... de part mes pensées et du fait que mon rythme de vie s'est adapté a celui d'Artamos...
Je ne pourrai de toute maniere pas appeler un serrurier a cette heure ... je dormirai sur le palier de l'apartement...
J' arrive gare de lyon, il est 2h du matin, je descend du train et sort de la garre... Bon déja rentrer... et ensuite prendre contact de jour avec ... le bétail.
Je me dirige vers les taxis devant la garre et en choisis un... le neuvieme en partant de la tête de la file. Je lui demande donc de me ramener chez moi... Heureusemnt l'interfone est a code digital... je dormirai dans le couloir en attendant le matin pour un serrurier.
Je suis en bas de chez moi en une dizaine de minutes... J'entre dans l'immeuble et monte les escaliers, j'entre dans le couloir. Je m'arrete ... entendant du bruit chez moi, lorsque je suis devant la porte de mon appartement...J'ai tout d'abord un mouvement de recul...Puis j'essai d'ouvrir la porte doucement... Elle est ouverte, j'entre doucement defaisant la fermeture de mon blouson et posant la main sur le pommeau du katana....
J'entend l'assiéte des chats étre posé au sol dans la cuisine, je me dirige sans bruit vers la cuisine après avoir refermé la porte sans bruit.
et bien, venez donc manger, je vais devoir y aller maintenant
Je reconnais la voix une voix féminine...Stépanie... J'enleve la main de mon katana. J'entre dans la cuisine. Je voie Stef devant l'evier occupée avec les gamelles des chats et chiens.
Bonsoir ...
Elle se retourne en laissant échaper un crie de surprise. Je lui sourit
le... Lessa!! tu... tu ma fait une peur bleu!!!
Je me baisse pour acceuillir mes bebes, les deux chats et les deux chiens dans mes bras... Puis je me relève...
oh mon dieu Lessa! elle se relève et se précipite dans mes bras... Je l'y acceuil...
ou était tu, la police est a ta recherche... du moin l'était
Je...
ca fait désormais une semaine !
Je me suis retrouvé au Luxembourg... sans savoir comment sans vetement et sans papier...
Sans rien...Je doit mon retour a un homme... jeune homme... plus que charmant
Je rougis et mon regard se voile en pensant a Artamos si loin
mais... comment? pourquoi ? que t'ai-t-il arrivé ? j'ai avertis la police en arrivant plus a te joindre
ils ont fini par forcer la porte, d'ailleur j'ai fais changer les serrure du cou et me suis occupée des animaux
Merci stef...
Elle semble totalement exité
Merci
alors ? raconte !
Je lui raconte tout simplement une partie de la vérité... brièvement homettant certaine chose que je me suis reveillée nu dans un "parc", je pefere taire l'endroit et qu'un homme m'a receuillis et aidé...
et alors ? l'homme?
Je souris, rougis et ne dit plus rien... Elle me connais trop bien... rien que le fait que je lui parle de lui lui a mis la puce a l'oreille.
allez... dit Lessa ; il est comment? quel age? fais quoi? il est riche ?
J'explose de rire
Il est lui ... C'est indescriptible... Et puis tu serai jalouse
Je lui souris la taquinant, elle fais une moue
allez je vais peu etre te laisser te reposer
Merci pour tout...
tu devrais aller au commissariat de police demain
Je vais devoir le faire oui ... et me demande ce que je vais devoir dire...
je repasserai quand on sera toutes les deux plus reposée pour parler
Je lui sourit avant de lui répondre.
J'irai demain a la premiere heure au commissariat
Elle va reprendre sa veste que je n'avais pas même remarqué en entrant...
bien, je te revoi vite, tu m'apelera?
Promis. Surtout que je ne vais pas rester tres longtemps... Je repart des que j'ai reglé quelques affaires... et j'emmene les bébés
d'accord elle me repond avec un grand sourire. Je suis heureuse de la retrouver, j'ai peu d'amis... mais ils compte enormément pour moi.
Tu a fait mes robes ?
Oui c'est pour ca que j'ai essayé de te contacter. Allez je file.
Bonne nuit Stef.
Elle me tend les clefs de l'apartement et me fait la bise. Puis elle se retourne et sort.
Je referme la porte derrière elle.

Je dors paisiblement très paisiblement, habitué à mon horaire de vie maintenant décalé... ont pourrait quasiement parler de décallage horaire. Je suis réveillée par Tornade qui me saute dessus et me taquine pour me réveiller. Je lui sourie et la caline. Cyclope ey les deux dogs allemand ne tardent pas a nous rejoindre. Je passe un long moment allongée avec mes animaux, profitant de laur praisance en leur parlant d'Artamos. Je me leve enfin prend ma douche dejeune puis m'habille, retrouvant une certaine routine. Enfin si l'on peu dire car dehors la nuit commence a bien tomber.
Les animeaux sont toujours après moi réclamant a manger et me collant ratrappant une semaine de calins. Mon regard se pause par hasard sur l'horloge de la cuisine pendant que je remplis leurs gamelles : 20h.
Je vais m'installer a la salle et étudie les programmes et horaires d'ouverture du Louvre.

Le Louvre fait quelques visites guidées, de jolis parcours et autres présentations et date d'expo
Horaire d'ouverture :
En voiture : un parc de stationement souterrain est accessible par l'avenue du général Lemonier, tous les jours de 7h00 à 23h00.
Le musée est ouvert tous les jours de 9h à 18h, sauf le mardi et les jours fériés suivants : le 1er janvier, le 1er mai, le 15 août et le 25 décembre 2006.
Nocturnes jusqu'à 21h45 les mercredi et vendredi.
Le musée du Louvre est gratuit le premier dimanche de chaque mois.
L'accès par la Pyramide et par la Galerie du Carrousel est ouvert de 9h à 22h, sauf le mardi.
Le passage Richelieu est ouvert de 9h à 18h, sauf le mardi.
L'entrée par la porte des Lions est accessible de 9h à 17h30, sauf le mardi et le vendredi.

Ceci fait je vais dans ma chambre er range le rouleau dans la trape au dessus de mon, j'hésite longuement puis range le katana , sinon je suis sur de biper au portiques de sécurités. Je reviens sur ma décision et le prend tout de meme ... je le laisserai dans la voiture si je suis obligée de passer des portiques. Et puis entrer dans un domaine emplie de buveur... sans rien... ce serai encore plus du suicide, deja que ca en est deja...
Je sort de l'apartement, le ferme et descend en trombe après avoir pris le sac a dos, mon porte feuille et mes clefs. Je prend la direction du Louvre, ce soir je ne ferai qu'un reperage. La circulation est fluide, j'arrive rapidement au Louvre je descend dans le parking sous terrain, il est ouvert pas mal de places sont libres. Je me garre et sort, mon regard scrute le parking, il est très sombre juste quelques points de lumière trouent l'obscurité. Mes yeux s'habituent rapidement a cette pénombre, jee ne voie personne, seulement des voitures ici et la. Je cherche du regard la sortie du parking. Deux sorties... l'une est proche de l'entrée voiture un escalier qui remonte, l'autre sortie est a l'opposé de la première et monte a une porte semblant d'apres les indication, mener n non loin du chateau du Louvre. Je ùe dirige vers la sortie la plus proche du chateau et m'engage dans l'escalier. Je ressort directement sur la place dans la grande cour du louvre, une trentaine de personne traine mais le louvre fermé sa ne fait pas énorme. Je m'avance flaner mais observe les lieux, mon regard s'attardant sur chaque chose, chaque personne présente? Je ne vois que des gens semblant se promener et passer ainsi que des skateurs sur la grande cour dégagé des nombreux passant habituellement ... rien d'anormal pourrai t'on dire. Lles jardins sont toujours ouvertn je me dirige donc vers eux... pour une architecte paysagiste n'etre pas venue voir les jardins du Louvre... Je ne peu m'empecher d'esquisser un sourire. Je m'attarde et me promene etudiant l'architecture des jardins, les essence utilisées... J'etudie les structures et composantes du jardin tout en gardant un oeil sur le palais. Je croise quelques couples qui se ballade, rien de spécial juste le plaisir de profiter des jardins de paris a la fraicheur du soir. Je remarque que certaines lumiéres sont encore allumées aux fenétres du palais. Je me dirige vers le palais, ma main se pose sur mon blouson, carressant le katana a travers le cuir de mon long manteau... rassurée par le toucher de la lame... J'arrive au niveau des murs et fait le tour du palais. Les fenètres allumées se trouvent au niveau de l'entrée de la petite cour du chateau. Je m'en approche, elle sont assez hautes... je ne pourrai jamais voir a l'intérieur si je n'ai rien pour monter dessus .... Je cherche du regard quelque chose qui pourrais me servir pour me sur-élever. Rien... à part des pots de pierre plantés... trop lourd. Je pousse un soupir puis me détourne et m'éloigne... Je me vois mal en effet sauter et s'accrocher a la fenetre... comment se faire remarquer en une leçon... bien qu'a mon avis ils savent déja que je suis la...Et de plus il y a des passants tout autour de moi. Je retourne donc au parking... il vaux mieux que je revienne étudier les lieux de jours.... je reviendrais donc demain.
Alors que j'entre dans le parking, je remarque du coin de l'oeil un homme assez louche s'approchant de moi... genre petit dealer de supérette... ou homme de basse oeuvre... Je continue comme si je ne l'avais pas vu le gardant tout de meme dans ma ligne de vue. Il porte un manteau cuir, pantalon de jogging, une casquette, baskette,...
hep toi la * lache t'il dans ma direction
Je me retourne doucement, je deteste son ton, sa posture... une vrai petite racaille qui se prend pour un caid... Je m'arrete et le regarde et lui répond d'une voix clair et assuré... Mon regard en dit long ... Essai quoi que ce soit et tu es mort.
Oui ?
eu... regarde j'ai kelke truc pour toi quoi, tu s'ra surment intéréssé quoi dit il ouvrant son manteau
Je n'esquisse pas un geste
Alors debale ... on verra
Je le voi ouvrir son manteau sur des petits sachet blanc. J'eclate de rire
Tu trouvera pas preneur avec moi
interressé par autre chose alors? ché pas moi, g tout s'ke tu veu koi.
Tout ? cela m'etonnerais
bin dit moi, j'te refourgue tout
Je fait le tour du gars doucement l'observant attentivement
Allé quoi
Le gars recule pour m'empécher de lui tourner autour, il ne semble pas aimer sa visiblement
et oh toi! tu ma pris pour un ch'val
Tu me proposer quoi ?
Je m'arrete, il sourit
tu pense que je propose tout s'ke g comme sa? demande je te di si j'ai quoi
Donc tu ne m'interresse en rien. Bonne continuation a toi
Il rit, je tourne le dos et reprend la direction de ma voiture toujours attentive on ne sai jamais...
tant pis j'aurais pensé ke tu était quelqu'un interressé avec ton épée....
Je m'arrete et me retourne lentement, il me regarde me retourner tout sourire.
Confondre un katana avec une épée... Quel manque de dissernement
Je lui rend son sourire
ouai tu sais moi.. m'en fou de s'ke sais tant ke sa leur coupe un peu quoi
Que je coupe quoi a qui ?
Il me sourit du genre "haha tu voi j'en sais plus"
tu sais de qui je parle en tournan le regard vers le chateau
Je le regarde l'air mais de quoi tu me parle. Il me regarde.
nan tant pis je me suis trompé, mais sa m'étonné ausis kil me demande de savoir tu voulé quoi! quoi!
Je m'arrete et eclate de rire. Je le regarde, il se retourne et s'éloigne.
Et tu pense qu'ils dirai quoi si ils savaient que tu me propose leur tête ?Bien qu'ils le sachent sans doute déjà
Il se retourne
j'ai dit ke tu avé sur toi un coupeur... pas ke je te proposé de l'utiliser quoi! et que c'est sa qui ta révelé! quoi! bon allé
Tu pourra simplement leur dire que je ne suis pas la pour leur nuire
m'en fou moi! quoi, je sais pas d'ki tu parle!
Je sourie
vas'y toi chui pas ton bétails
Je depasse mon sac a dos... pas mon bétail... mais le leur oui... Ils savent que je suis la... tan mieu les présentations seront plus vite faites...
allé tcho
Il se retourne et s'éloigne trankilement. Je me retourne a mon tour et m'eloigne en direction de mavoiture. J'ouvre la portiere et entre posant le katana sur le siege passager avec le sac a dos. Il y a seulement queqlques voiture en moins sur le parking... Je met le contact et sort du parking.
Je rentre chez moi le katana toujours a ma ceinture... meme dans mon apartement, je donne a manger aux animaux puis vai me coucher gardant le katana contre moi dans le lit et apres avoir verifié la presence du rouleau dans sa cache. Il est il est 22h... Après bien quelques temps je ne trouve toujours pas le sommeil. J'ai dormie plus de douze heures dans la journée... rien d'etonnant. Je me relève donc et m'habille : jean noir, pull over noir, rangers noire, katana a la ceinture puis remet son long manteau noire . Je siffle les deux jeunes dog allemand et leur passe leur laisse pour les sortir. Je sourit en les regardant a à peine six mois ils m'arrivent déja a la taille. Je prend porte feuille et clef dans le sac a dos et sort. Je promene les chiens et m'arrete boir un coup dans un bar puis je rentre ensuite esperant pouvoir trouver le sommeil, mes pensées tournées vers mon prince ... Artamos.
Il est a présent minuit je ferme l'apartement délaisse les chiens et me couche le katana toujours avec moi... J'espere pouvoir me lever le lendemain pour attaquer correctement et regle mon reveil a 6h30. Je passe encore de longs instants a me tourner et me retourner dans mon lit pensant a Artamos, a tout ce qui s'est passé... a tout ce que je decouvre... j'arrive enfin a m'endormir.